1. Dans la nature


    Datte: 11/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Bob-et-Annie, Source: Hds

    ... Olivier. Un formidable souvenir. Olivier avait sauté Virginie quelques mois avant en gang-bang. Je laisse les lecteurs qui veulent en savoir plus, lire le récit que j’ai fait sur le sujet. J’aurais pu détester ce mec, lui foutre mon poing sur la gueule, Mais non. Déjà que, un, je ne suis un violent mais deux, finalement Olivier et moi sympathisons, au grand bénéfice de Virginie. Ma belle continuait un peu à le voir (en fait pratiquement tous les jours, ils travaillaient ensemble dans la même boite). Nous vivions alors une drôle de situation tous les trois, jusqu’à ce que ma belle veuille bien faire un trio avec moi et lui. Je crois me souvenir que ce fut moi le premier à lui proposer :
    
    - « T’aimerais pas te faire sauter comme ça en double ? » lui demandais-je alors que nous étions chez elle à mater un film de cul.
    
    Ma chérie répondit par un « tu te rends compte de ce que tu me demandes ? » comme si c’était la première fois et choquant ce que je lui demandais là. Ma belle, dans l’immédiat, ne me donna pas de réponse, mais ne me donna pas non plus de non catégorique. Elle ajouta peut après « je vais y réfléchir », essayant peut-être pas ce moyen, de botter en touche.
    
    A suivre…
    
    Quelques jours après notre conversation, ma belle s’attacha à me donner une réponse et essaya sans le dire de me faire parler du sujet :
    
    - « Cela serait bien un petit trio, tous les trois ? » m’eut dit-elle, subitement dans une conversation me parlant d’Olivier.
    
    Je buvais un verre et ...
    ... j’ai failli m’étouffer du moins avaler de travers :
    
    - « Tu es sérieuse ? » lui demandais-je.
    
    - « Oui, parfaitement sérieuse, c’est ce que tu voulais, non ? »
    
    Virginie me surprit toujours par sa spontanéité et sa réactivité. Je peinais parfois à comprendre ce genre de femme pas du tout salope mais coquine à outrance en dépit d’une timidité fortement affichée. A croire que ce sont les femmes qui en montrent le moins qui en font le plus. Je me demande si cela ne serait pas finalement très vrai. Toujours, est-il, nous fîmes notre trio de la rue du Midi. C’était vers l’hiver car les nuits arrivaient vite et le jour le matin mettait du temps à se lever. Nous avons passé tous les trois une nuit d’enfer, même si je me souviens en pleine nuit m’être réveillé, croire ma chérie à côté de moi dans le lit, voir qu’elle n’était pas là et constater qu’elle suçait et se faisait démonter par Olivier sur le clic-clac de notre salon. J’ai fait comme si de rien n’était et j’ai maté en toute discrétion sans les déranger et sans me faire remarquer. Je retournais me coucher avant que ma chérie vienne me rejoindre. Quand elle vint se recoucher, je fis celui qui fit semblant de dormir.
    
    L’histoire avec Olivier est terminée, mais nous fîmes tout de même un autre trio, dans les bois celui-là où plutôt en campagne, dans un champ de maïs ! Evidemment non, pas dans un champ de maïs, mais à proximité d’un champ de maïs. C’était un jour où il faisait très beau, sans doute en aout parce que je champ ...