Le projet artistique (66)
Datte: 10/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... ça c’est sûr. J’y compte bien, mon cher Max. J’y compte bien... En tout cas, je suis rassurée que nous ayons tous les deux eu envie d’un ou une autre en même temps.
— Moi aussi et j’ai dans l’idée que tout le monde avait envie de variété.
— Ça me paraît évident. C’est un peu pour ça que nous avons eu cette idée. Et la vôtre a rajouté un peu de piment... Et ça nous a obliger à ralentir le rythme. Après la frénésie bestiale d’hier, je dois dire que je n’en ai que plus aimé les caresses de Peter.
— Je te comprends, un peu de douceur, un peu de tendresse, ça a du bon, non ?
— Oui. Allez, c’est l’heure de se rendre en cours.
Amandine se leva et je la suivis. Les autres bougèrent plus ou moins rapidement et nous nous retrouvâmes quelques minutes plus tard dans nos classes respectives. Je passai le reste de la journée avec une certaine mélancolie. C’était la dernière journée de présence de nos amis et je les appréciais de plus en plus. Sylvie, Jutta et Svenja qui étaient dans ma classe semblaient trainer leur peine tout comme moi. Au déjeuner, je vis que nous avions tous une tête de six pieds de long. Même, Paul, Elisa, Dieter et Hanna étaient moroses. Mais comme toutes les journées de cour, celle-ci prit fin et nous nous retrouvâmes entre nous pour notre dernière soirée.
* * *
Pour notre dernier repas, l’ambiance fut un peu terne. Nous retournâmes rapidement dans nos pénates sans savoir ce que nous pouvions faire. Nous n’avions rien prévu de particulier même ...
... si je pensais qu’il aurait été opportun de "fêter" d’une quelconque façon cette dernière soirée. Les professeurs nous regardaient avec un petit sourire en coin. Eux avaient prévu un truc ? S’ils nous suivaient souvent dans nos plans, ils en étaient rarement à l’initiative.
— Pourquoi vous souriez comme cela ? demanda Peter.
—Nous pourrions penser que vous vous moquez de nous, ajouta Sylvie en mode bulldozer.
— Nous ne nous moquons pas, mais nous nous étonnons de votre oubli, répondit Dieter.
Qu’avions-nous oublié ? Je ne voyais pas. Je vis tous les autres plus ou moins dans le même brouillard. Je tournai mes yeux vers Germain qui avait l’habitude de percuter plus vite que nous. Mais il ne semblait pas plus avancé. Côté allemand, c’était pareil, ils n’avaient aucune idée de ce dont parlait Dieter. Elisa nous apporta une précision, un indice :
— Vous n’avez pas oublié de regarder quelque chose ?
Je ne voyais pas ce que nous n’avions pas regardé. Les rushs de ce que nous avions tourné avaient été visionnés.
—Notre surprise ! s’exclama Ida dans sa langue natale.
— Et la seconde partie de notre vidéo !
Pour une fois, c’était Marie et non son chéri qui avait trouvé. Bien sûr, nous n’avions pas regardé la deuxième partie de nos "exploits" de fin d’année. J’étais impatient de voir la tête des Allemands devant le fist-fucking des nanas et la sodomie des mecs. Je me demandai aussi, ce qu’ils avaient pu faire de leur côté. Je supposai qu’ils voulaient nous ...