1. Amélie, comme une petite soeur (10)


    Datte: 10/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Benj781, Source: Xstory

    ... semence. Je jaillis intensément en un orgasme rarement atteint et alors que mon sexe est en train de se contracter, sens celui de ma chérie faire de même et sa réaction est sans appel.
    
    — Hannnnnnn oouiiiiii.
    
    Fidèle à mes habitudes, j’expulse une quantité impressionnante de sperme à chacune des contractions de mon sexe. Amélie a fini par s’y habituer et ne me fait plus de remarques quand une nouvelle fois, celui-ci commence à couler immédiatement hors d’elle lorsque je me retire.
    
    — Quel agréable réveil, merci !
    
    — Je n’ai pas pu résister, tu étais un appel au vice.
    
    Nous nous câlinons tendrement, il est encore très tôt, profitant du calme et de ce dernier réveil ensemble. Nous ne parlons pas, j’ai néanmoins l’impression qu’elle aussi voudrait faire durer cet instant indéfiniment. Mais c’est elle qui prend la parole.
    
    — Quel est le programme aujourd’hui ?
    
    — Rester comme ça jusqu’à la nuit des temps ?
    
    — Très tentant, mais pas trop réalisable si ? Surtout quand tes deux fils vont débarquer et voir papa et marraine nus dans le même lit !
    
    — Petit dej, ménage succinct et bagages, plage, repas du midi tardif et on prend la route, comme ça, les gosses feront leur sieste dans la voiture.
    
    — OK très bien, pourquoi ménage succinct ? Ca se fait pas, déjà qu’on nous prête la maison.
    
    — La voisine m’a dit qu’elle vient dans deux semaines, et qu’elle a une femme de ménage qui passera.
    
    — Top cette voisine, c’est sûr, elle que tu aurais dû mettre le ...
    ... grappin !
    
    — T’es bête !
    
    La journée passe à une vitesse folle, très vite, trop vite. A quatorze heures quinze, nous sommes tous dans la voiture pour rentrer. Un peu plus de deux heures de route au programme, j’ai le cœur lourd, j’ai l’impression que c’est la fin d’un rêve. Les enfants dorment, Amélie regarde par la fenêtre et me regarde régulièrement.
    
    — Ca va ?
    
    — Honnêtement, je me sens triste.
    
    — Pourquoi ?
    
    — C’est passé trop vite, c’était tellement idyllique, j’ai peur de la suite.
    
    — On va se voir, ne t’inquiète pas, je t’aime.
    
    — Oui, je t’aime aussi, les deux prochains mois, te mets pas trop la pression par contre, tu as un mariage à terminer d’organiser.
    
    — T’inquiète, il reste que des broutilles maintenant, on se donnera du temps.
    
    — Je suis déjà passé par le mariage, il t’arrivera des choses à gérer !
    
    Je pose ma main sur sa cuisse qu’elle recouvre de sa main, nous nous sourions
    
    — Merci de m’avoir rassuré petite sœur.
    
    La route se passe tranquillement, sans le moindre encombre, et nous arrivons chez moi. Les garçons sont toujours en train de dormir à l’arrière, même en les détachant de leurs sièges, aucun réveil. Je prends l’aîné et Amélie son filleul. Nous allons les déposer dans leur lit et les regardons tendrement avec Amélie, je la tiens par la taille. Je regrette à l’instant qu’elle ne soit pas ma femme et la mère de mes enfants, mais j’ai fait déjà un choix, les protéger coûte que coûte. Je prends sa main et l’invite à me suivre, je le dirige ...
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