L'éducation de Juliette (4)
Datte: 08/11/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: tarbenero, Source: Xstory
... regardant.
— Non, je t’en prie, exhibe-moi tant que tu veux, mais je ne veux pas qu’un autre homme me touche.
— Pourtant l’autre fois, à la boîte et dans le métro, tu t’es bien laissée faire.
— Oui, mais je n’étais plus moi-même. Je ne veux plus recommencer.
— Bon d’accord. On en reparlera. Fais voir ton cul !
Il retire le gode.
— OK, t’es bien ouverte. Je vais pouvoir t’enculer. Mais avant, tu vas me faire une pipe pour me mettre en forme.
Il s’installe devant moi. J’ai toujours le cul tourné vers le voisin. Maintenant, il peut voir ma chatte et mon cul ouvert. Je me saisis du braquemart de Jean et l’engloutis jusqu’aux couilles. Après quelques instants, il m’arrête.
— Allez, viens te faire enculer pouffiasse.
Jean m’attire vers lui.
— Mets-toi face à la fenêtre, que notre voisin en profite puisque tu ne veux pas qu’il vienne.
Je me tourne face à la fenêtre. Maintenant, je vois notre voyeur. Il me fait un petit signe et me montre sa bite. Elle est énorme, il bande comme un âne.
— Viens t’asseoir sur ma queue.
Je me laisse descendre. Quand je sens le gland appuyer sur ma rosette, j’ai un instant d’hésitation, mais Jean qui me tient aux hanches appuie. Le gland m’écarte les sphincters. C’est vrai que je n’ai pas mal, il m’a bien ouverte avec son gode. Je sens la bite m’envahir, m’écarter le cul. C’est une sensation extraordinaire.
— C’est bon ?
— Oui mon amour.
— Descends encore, je vais te la mettre jusqu’aux couilles.
Quand ...
... je me retrouve assise sur ses cuisses, je pousse un soupir. Sa bite m’emplit d’une manière extraordinaire, c’est formidable. Elle me défonce, mais me sentir emplie comme cela c’est un tel bonheur que j’accepte la souffrance toute relative.
— Branle-toi.
Mon doigt se porte sur mon clitounet que je caresse doucement. Ainsi prise, la bite de Jean me défonçant la rosette, mes cuisses largement écartées, j’offre à notre voisin un spectacle qu’il a l’air d’apprécier beaucoup. Ses yeux exorbités se fixent, sur ma chatte que je branle et ma rosette défoncée par la bite de Jean. Il se masturbe lentement lui aussi, j’ai déjà remarqué qu’il fait toujours durer sa branlette pour jouir en même temps que nous. Dans cette position, je profite pleinement de la situation puisque je peux le voir me mater, se branler. Cela m’excite encore plus. Mon doigt s’agite sur mon clito, de mon autre main, je maintiens ma chatte bien écartée afin que le voyeur n’en perde pas une miette. Jean me pince les tétons, les tord, tire dessus.
— Tu me fais mal.
— Mais tu aimes ça salope. Je sens ta mouille qui me coule sur les cuisses.
C’est vrai que j’aime ça.
— Coulisse sur ma bite chérie.
Prenant appui sur mes mains, je remonte le long de sa colonne jusqu’à ce que le gland atteigne ma rosette, puis je me laisse retomber d’un seul coup. J’ai l’impression que le zob va me ressortir par la gorge. C’est encore meilleur que la première fois. Je continue à m’empaler de plus en plus vite. Soudain, ...