1. COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse la femme. L’Espagnol, vieux mais très bon amant (1/1)


    Datte: 08/11/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... la plupart de se retenir oubliant mon plaisir.
    
    J’aime la branlette solitaire de mon clitoris, mais une bonne bite bien résistante, je préfère.
    
    Roberto avec ses 52 ans, bien sur le retour en a fait partie.
    
    Chez mon père donc dans ma chambre puis ensuite dans son atelier de peintre sous les toits dans Paris quartier Saint -Michel.
    
    Je séchais mes cours l'après-midi pour aller le retrouver.
    
    Sitôt chez lui, je me dénudais.
    
    J’aurais aimé qu’il me prenne de suite, mais en homme d’expérience, il faisait durer le plaisir.
    
    Derrière sa toile, il la quittait pour s’approcher de moi.
    
    Il me relevait la tête en me prenant sous le menton.
    
    Son contact depuis qu’il m’avait ouvert à nos jeux secrets, m’a fait mouiller.
    
    Le secret de nos rapports, amplifiait mes besoins de l’avoir de plus en plus souvent en moi et je comprenais qu’en vieux pervers qu’il est, venir pour mon menton ou pour mon sein, ça faisait partie de son jeu.
    
    Une heure, des fois plus, le nu qu’il peignait de moi, avançait lentement, à croire qu’il avait peur que je le quitte.
    
    Pourtant dans cette période lorsqu’il recouvrait sa toile, m’interdisant de la voir avant qu’elle soit terminée, c’est avec délice qu’il me rejoignait sur le sofa où il m’avait installée.
    
    Dans son atelier, il y avait une petite estrade sur laquelle se trouvait un fauteuil, j’aurais pu poser là comme la plupart des tableaux non terminés autour de nous.
    
    Sur le sofa, il lui était facile de me rejoindre, de m’écarter ...
    ... les cuisses et de me faire de magnifiques cunnilingus.
    
    Cunnilingus suivi d’une pipe sur son sexe noueux d’un homme de son âge et ayant souvent baisé des petites salopes comme moi.
    
    J’étais presque jalouse d’elle simplement à voir ce que mon peintre avait fait d’elles.
    
    Je me souviens de celui où une jeune blonde se tenait assise sous le bout de ce fauteuil, les cuisses écartées presque d’un angle de180°.
    
    Impudique, je le suis, mais dans cette posture, le léger voile parfaitement reproduit dans les moindres plis, montrait de cette jeune femme le sexe offert légèrement visible.
    
    Qui aurait le courage de pendre dans son salon un tableau plus impudique que les poses que je peux prendre avec mes amants.
    
    Dès le début, avec Roberto nous adoptons une attitude responsable.
    
    J’aime baiser avec mon espagnol, mais je veux préserver mon père.
    
    Inutile qu’il sache que sa fille est une belle salope qui aime se faire baiser de plus en plus souvent.
    
    Le sexe à la dose où je le pratique est une vraie addiction.
    
    Il est dit que le sucre en est une, mais le sexe, je peux l’affirmer, c'est pire.
    
    Le week-end, lorsque je passe chez mon père et que Roberto est là nous nous faisons des tendres bises comme une fille avec l'ami de son cher et tendre papa.
    
    Roberto, reste un tendre souvenir, j’ai beaucoup appris avec lui, mais la vie dure le temps qu’elle dure et la seule chose qui me reste de lui c’est un des tableaux qu’il a fait de moi et que j’ai toujours accroché dans mon ...