Julie et Julien (9)
Datte: 08/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... point d’atteindre le septième ciel. Alors, une intuition nous guide. Une connexion nous fait réagir au bon moment. Lui et moi nous nous retirons et levons les jambes des filles. D’un doigt nous récoltons de la cyprine à la source et venons titiller le petit trou de la blonde et de la rousse. Avec cette simple caresse, nous les sentons au bord de la jouissance. Elles soupirent et gémissent, nos doigts se font presque aspirer par là.
Nous nous plaçons et nous nous enfonçons par cette nouvelle entrée. Kielo et Julie gémissent, tremblent mais ça ne semble être que du plaisir. Une fois les couilles collées à leurs fesses nous ressortons lentement avant de nous renfoncer. Soudain Joao pousse un long soupir rauque, je le suis dans la seconde qui vient.
Je viens de faire jouer les muscles de mon sphincter autour de la queue de Joao. Il grogne comme un ours et semble prêt à flancher. Au feulement de Julien, je comprends que Kielo a fait de même. Contrairement à moi, c’est une habituée de cette entrée sans en être une mordue totale. Joao m’a bien assoupli et je subodore que c’est pareil pour lui. Je pensais que c’était surtout Julien et moi qui allions leur apprendre des choses. Mais, ils en ont sous la semelle nos amis, nos amants. Les deux gars vont et viennent avec énergie, nos culs les massent et les pressent. Nous commençons tous les quatre à pousser de profonds cris. Nous allons venir, je vais sentir Joao en moi, Julien va se vider dans Kielo. Mais c’est comme s’il le ...
... faisait en moi, que Joao le faisait dans Kielo.
— Aaah, ahh, ahhh, aaaah, hurle presque Kielo.
— Aaaaaaah, ouiiiii, ouiiii, la suit Julie.
— Rhhaaaaa, râlons-nous avec Joao.
Je balance de puissants jets de foutre dans le cul de Kielo qui est parcourue de spasmes. A mes côtés, je pressens que Joao doit en balancer pas mal et que ma Julie et ses muscles lui en font voir de belles. Nous sommes KO et nous nous affaissons sur mon lit. Nous transpirons tous les quatre, nous sommes à bout de souffle. Mais, encore une fois grâce à eux, je me sens plein de vie. Je regarde Julie et je vois dans ses yeux qu’elle le vit de la même façon.
Julien est aussi bien, serein, vivant que moi. Joao et Kielo se regardent tout aussi amoureusement que nous. Je les sens moins sages, plus vivants que ce que j’avais senti d’eux hier. S’ils nous apaisent et nous calment, nous les réveillons et les vitaminons, il me semble. Je me redresse un peu et je rampe vers Julien pour me coller à lui. Kielo et Joao s’enlacent et nous restons tous les quatre silencieux quelques minutes.
Passé ce temps calme, nous reprenons vie. Mais si le temps des amours n’est pas fini, il est urgent de manger un morceau. Nous commandons des pizzas et le pauvre livreur est plus que surpris quand les filles lui ouvrent à peine vêtues. Nous mangeons, nous dévorons mais ce n’est plus la fringale destructrice que j’avais avant. Joao et Kielo se plaignent en rigolant que nous leur avons, encore une fois, privée d’une ...