1. Le Jour où J'ai Réalisé Mon Fantasme Ultime : Le Gang-bang Insémination (1)


    Datte: 08/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: 1m6854kg, Source: Xstory

    ... mari écarta fermement mes fesses afin d’exposer mon anus. Je sentis un gros gland prélever le sperme régurgitant de ma chatte baveuse, en me raclant du clitoris jusqu’au pourtour de mon trou de balle. Après avoir délicatement caressé ma rondelle pour la tartiner de ce lubrifiant naturel, le chibre en question me tapota l’entre-fesses et m’infligeât la première pénétration anale de la soirée. Avec la même cadence de pénétration, on se mit à décharger à la chaîne dans ce nouveau terrain de jeu. Passive, bloquée par mon mari, mes gémissements étouffés dans le matelas, je fermais les yeux pour apprécier les spasmes de ces multitudes de pénis au moment où ceux-ci éjaculaient un à un dans mon antre intime.
    
    Alors qu’on s’acheminait vers la fin de la partie (les participants s’étant peu à peu éclipsés pour aller se doucher et se rhabiller...), je faisais tout ce qui était en mon pouvoir pour recueillir le dernier don de mon ultime sodomisateur de la soirée. Tandis que je me faisais limer désespérément l’anus à cette fin, mon mari (qui en bon candauliste, avait été peu actif jusque-là, se contentant d’organiser et d’observer ma performance) dégagea soudainement ma tête et m’enfourna in extremis son sexe turgescent dans la bouche. Il éjacula alors puissamment au fond de ma gorge dans un cri de jouissance absolue : le pauvre s’était tellement retenu que ses bourses avaient fini par craquer... Mon mari n’avait pas terminé de se vider dans ma bouche que je sentis quasi simultanément ...
    ... l’autre cochon me gratifier d’une ultime éjaculation anale, dans un cri de soulagement tout aussi sauvage... 2 pénis enfoncés jusqu’à la garde et dégorgeant simultanément : Quel beau bouquet final...
    
    Essorés, mes deux étalons m’abandonnèrent alors, gisante, mes trous béants dégoulinant de sperme... La poupée apprêtée que j’étais en arrivant avait fait l’objet d’un carnage : sale et puante, recouverte de fluides séchés des cheveux jusqu’aux ongles de mes orteils, la bouche usée, les tétons mâchouillés, le clitoris mordillé, j’étais lessivée... Ayant relâché mon périnée, mes petites lèvres écarquillées ne pouvaient à présent plus retenir le contenu vaginal, lequel se déversait inlassablement : je pissais littéralement du sperme (mais pas que...!) tandis que je commençais à m’assoupir. Le brouhaha résultant du débriefing de ces messieurs dans la salle de bain ne m’empêcha pas de me jeter dans les bras de Morphée.
    
    Mon mari me confia qu’après le départ de mes inséminateurs, il n’osa pas me réveiller, et me recouvra simplement d’un drap propre avant d’éteindre la lumière.
    
    Le lendemain matin, il patienta jusqu’à mon réveil. Empreint d’une gaule matinale extrême, il me supplia de mettre à sa disposition mes trous, prétextant qu’il souhaitait marquer son territoire à l’intérieur de chacun de mes orifices souillés. J’accédai à sa demande et me laissai baiser une ultime fois. Par la chatte, et par le cul. Mes orifices souillés de la veille le firent fort heureusement éjaculer ...