L'aventure d'un soir entre autres (4)
Datte: 07/11/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: mysterwolf, Source: Xstory
... exprime mon désir de la voir se retourner. Elle ne se fait pas prier.
J’ai devant moi une femme splendide et nue. La pénombre est trop profonde pour reconnaître ses traits, mais ses formes et son allure provoquent en moi ce fourmillement si agréable, bien que plus puissant.
Mon pénis lui fait une révérence en l’honneur du spectacle que je ne peux que discerner, ce qui lui vaut d’être saisi pour être délicatement et doucement massé. Je le sens gonfler entre ses doigts agiles. Un cri plaintif me fait sortir de mon émerveillement temporaire.
Je plonge sur cette jeune femme et l’embrasse. Au début timidement, nos lèvres se frôlent, nous souffles se mêlent. Du bout de la langue, je les goûte puis les happe doucement. Elle essaie d’un mouvement de tête de réunir nos bouches, la mienne dévie pour se poser sur son petit nez. Enfin, nos lèvres se joignent et plus elle répond à mes baisers et plus ils se font passionnés. Nos langues commencent à se mêler. Experte comme je n’en ai rarement connu, sa langue parcourt ma bouche, c’est un tel régal, que ma queue en grossit encore entre ses doigts.
Elle me rend fou, je n’ai plus envie de me contrôler, c’est si bon.
Avec regret, je me force à quitter sa bouche, pour goûter ses seins. J’ai l’impression de les avoir toujours connus. Ils sont si pleins, si agréables sous la main, répondant à la moindre caresse. Comme j’imaginais quelques heures plutôt sévir sur mes douces tortionnaires, je les caresse, les masse, les lèche, les ...
... suce et suçote. Je découvre les aréoles de bout de la langue, mordille et happe ces mamelons tendus. J’entends feuler ma maîtresse sous mes coups de lèvres.
Sous l’excitation, elle accélère le mouvement des mains, me faisait gémir de plaisir. Il est temps que l’un de nous se libère des tensions. Je descends lentement le long de son ventre, taquine son nombril pour atteindre son jardin d’Éden, où m’attend le fruit défendu.
Je décide que je l’ai fait assez languir, et après avoir passé son pubis courtement rasé, je m’approche de ses lèvres inondées par le plaisir. L’odeur âcre et enivrante de la cyprine m’envahit. J’y discerne l’effluve d’un savon doux de teinte floral et l’irrésistible odeur du désir et de l’excitation sexuelle.
À la seconde où mes lèvres se posent sur celles de son sexe, elle se cambre brusquement, enfonçant ma bouche dans son sexe. Son clitoris gonflé vient heurter doucement mon nez et ma langue s’enfonce avec délectation dans cette fleur épanouie. Passant les petites lèvres pour envahir son vagin palpitant, elle ondule autour de ma langue, estimant sûrement que le traitement avait été trop long à venir. Je lui prends les hanches, en sentant mes mains sur sa peau, elle gémit. Je peux me permettre de mieux la lécher : je happe ses petites lèvres, les suçote, la pénètre de ma langue, lui lèche et suce à tour de rôle son clitoris tendu et ses lèvres humides.
Canalisant ses hanches d’une main, je joins mes doigts au balai des sensations. En quelques ...