1. Roxanne et Mark se redécouvrent (5)


    Datte: 06/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: ITZY, Source: Xstory

    ... j’étais si fatiguée que ça, mais je me réveillais, quelques heures plus tard, par des petits bisous dans le cou. Encore à moitié endormie, je me laisse faire. Ses caresses sont agréables sur mon dos, mes seins et mon ventre. Rapidement, je sens sa main s’immiscer entre mes jambes, une sensation qui fait grandir une chaleur dans mon bas-ventre. Mais mon excitation s’arrête net quand il essaye de rentrer un doigt dans mon vagin. La douleur se diffuse dans mon corps plus rapidement que l’excitation et me bloque toute envie d’aller plus loin. La discussion avec le docteur Namu me revient en tête, un signe que ce petit moment agréable est terminé.
    
    — Arrête Mark, tu me fais mal.
    
    Je m’enlève de son étreinte, comme s’il m’avait brûlée.
    
    — Je suis désolée, ce n’était pas mon intention.
    
    Je le sais très bien, mais cette douleur me met mal à l’aise et augmente ma frustration encore plus que quand on ne fait rien du tout.
    
    — Je vais aux toilettes, dis-je.
    
    Je n’ai pas spécialement envie de faire pipi, mais c’était pour échapper à tout ça et essayer de faire diminuer la douleur en me massant. La porte s’ouvre tout d’un coup et Mark surgit dans la petite pièce. Il s’accroupit devant moi :
    
    — Je ne voulais pas te faire de mal.
    
    — Je sais.
    
    — Écoute, on ne fera rien si tu ne veux pas, je te demanderai si tu veux faire quelque chose sinon ce n’est pas grave.
    
    — Oui, mais toi je sais que tu en veux.
    
    — C’est vrai, mais ce n’est pas en pensant comme ça que tu vas réussir à te soigner. Il faut que tu penses à toi d’abord et à ce que tu veux. Si tu ne veux pas faire l’amour avec moi, alors c’est pas grave, tant que tu es bien.
    
    Les paroles de Mark me rassurent un peu même si ma mauvaise humeur ne disparaît pas complètement. La journée se termine tranquillement, on travaille tous les deux, on mange avec sa famille et le soir, place à « Élite » blottis l’un contre l’autre dans le lit.
«123»