1. Mes cousines Muriel et Sophie, et leur maman Geneviève (2)


    Datte: 05/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... au platonique jusqu’à maintenant, je rattrapai tout de retard acquis. Pour m’aider à la défaire de son tanga, ma tante a soulevé ses fesses, déjà cela sentait bon la femme distinguée, avec son parfum envoûtant. Une fois sa petite culotte toute humide dans les mains, je n’ai effectivement pas pu me retenir d’en sentir l’endroit où les dépôts intimes féminins restaient collés à la culotte. C’était plus fort que moi je respirais profondément cette odeur féminine de femme mûre qui émanait de cette pièce de tissu en lycra.
    
    C’est avec un léger sourire que Geneviève me regardait faire, elle m’a observé avec un grand intérêt surtout quand je me mis à lécher ses sécrétions. Il n’y a pas dire j’étais vraiment fétichiste des petites culottes, surtout quand elles étaient encore humides, odorantes et goûteuses.
    
    — Je crois que tu vas vraiment être heureuse ici pendant trois mois.
    
    — Tu vas nous satisfaire pleinement, mais je crois que tu vas aussi prendre beaucoup de plaisir.
    
    — Il y a une femme ou plutôt une grosse cochonne qui dort en toi, mais cette dernière a le sommeil très léger.Cela me faisait tout drôle que ma tante me parle systématiquement maintenant au féminin, elle voulait trois filles à la maison, j’étais condamné à le devenir si je voulais passer trois mois chez elle. En même temps je me disais qu’il n’y avait pas mort d’homme (si je puis dire ) et que en fin de compte il était très agréable de porter des dessous féminins. Après m’être bien délecté de ...
    ... l’entrejambe de sa culotte sous ses yeux, tata m’a invité à passer aux choses sérieuses. Je n’ai pas eu besoin de me faire prier pour venir me positionner à la hauteur de sa vulve, entre ses jambes; j’en mourrais d’envie. Finalement je constatais que je ne me servais pas trop mal de ma langue entre les deux gros orteils des femmes.
    
    Quelle ne fut pas ma surprise de constater au combien son petit clitoris était sensible à mes coups de langue, c’était un plaisir car ainsi je savais où aller positionner mon appendice pour lui faire du bien. Elle était beaucoup plus expressive que ses filles, mais maîtrisait à merveille la technique de l’oreiller. N’ayant pas eu trop le temps de me nettoyer le visage de la cyprine de ses filles, je ne retrouvais avec une troisième couche de nectar sur le visage. Maintenant j’étais agrippé à ses cuisses, et ma langue découvrait son entrejambe pour le plus grand plaisir de ma partenaire. Je me sentais fort et puissant, à pouvoir ainsi la faire crier, la faire soupirer de plaisir, juste avec les coups de langue. Par contre, par rapport à ses filles, elle était beaucoup plus longue à prendre son pied; je pense surtout qu’elle voulait savourer le moment le plus longtemps possible.
    
    — C’est bien ma cochonne, continue à me brouter le berlingot.
    
    — Tu vas voir que dans quelques jours, tu ne pourras plus t’en passer.
    
    — Tu vas devenir une soumise brouteuse de minou.
    
    Le plus beau c’est que maintenant, le fait qu’elle me parle au féminin, avait tendance à ...
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