En vacances avec Charlotte - Histoires de Sexe

En vacances avec Charlotte

... dit que sans slip, je me sentirais plus que nue ?
— Oh, oui !
— Maintenant je sais ce que ça me fait et que j’avais mille fois raison ! Qu’est-ce que j’ai eu peur ! Mais qu’est-ce que j’avais envie de le faire. Après avoir fait mon pipi, j’ai failli ne pas remonter mon slip, mais j’ai manqué de courage. Je me suis lavé les mains, mais j’avais la tête en tourbillon. Je voulais, mais j’avais peur. J’avais peur, mais qu’est-ce que je brûlais d’oser ! J’hésitais et c’est à ce moment-là que la dame est entrée. La grande avec la poitrine ? Je suis sûre que tu ne l’as pas loupée !
— Certainement pas ! Et alors ?
— Je suis toujours en train de tergiverser quand elle me découvre. J’ai la robe remontée jusqu’à la taille et je suis embarrassée d’être surprise comme ça. Elle me fait un grand sourire.
— Toujours ce même problème, dit-elle, comme si elle et moi, on discutait de dessous tous les jours.
— Culotte ou cul nu ? demande-t-elle. À chaque fois que je suis de sortie, je peux me changer cinq ou six fois. Slip, tanga, string, ou rien. Alors, vous, vous faites quoi ? Vous voulez mon avis ?
— S’il vous plaît, oui.
— Laissez-moi vous regarder, dit la dame.

Charlotte me regarde dans les yeux.

— J’étais comme tétanisée. J’ai la robe déjà remontée, comme je t’ai dit, et elle met ses pouces de chaque côté de mon slip et le descend.
— Wôw !
— Elle me tape gentiment sur le mollet et je lève un pied, puis l’autre, automatiquement. Elle ramasse mon slip et le laisse pendre de ...

... ses doigts.

Elle me dit :

— Voilà. Décision prise. Vous n’aurez qu’à sortir cul nu et on verra vos jolis seins, mais je vous promets que tout le monde se concentrera sur la vue délicieuse de ton minou.

Je n’ai pas bougé. J’ai toujours la robe relevée. Elle tend la main et me caresse le sexe tout doucement. J’ai failli jouir sur-le-champ. Elle porte ses doigts aux lèvres et… elle goûte à ma mouille, comme dans mon fantasme ! Elle fait un pas en arrière et me regarde de la tête aux pieds. Elle dit :

— Attendez une minute après que je serai sortie. Je veux être à côté de mon mari pour le super spectacle que vous allez offrir à votre public.

Elle sort et je me laisse seule. J’ai la trouille, mais je ne supporte pas qu’elle me prenne pour une lâche… d’autant plus qu’elle est partie avec mon slip ! Je n’ai plus le choix et je sors comme tu me vois. Me voici donc plus nue que je ne l’ai jamais été, en public, au moins. Il faut qu’on rentre parce que je vais te sauter dessus !

J’appelle le serveur, je paie et on sort. On est en train de passer devant la table de cette dame et de son mari quand elle s’empare de l’avant-bras de Charlotte au vol.

— Faut pas que vous attrapiez froid. Tenez.

Elle dépose dans la main de ma femme une petite boule de tissu jaune canari, de la même couleur que sa jupe.

— Comme ça nous sommes à égalité. Un prêté pour un rendu. Bonne soirée.

Comme promis, Charlotte m’a sauté dessus et on a fait l’amour d’abord nus et ensuite avec ...