Moi paysanne maîtresse du sexe (3)
Datte: 05/11/2021,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
Charlotte
Je la regarde, stupéfaite.
— Madame va me faire la même chose ?
— Oui, si tu es d’accord, elle ne te forcera pas, mais si tu n’es pas d’accord, tu retourneras chez ton père.
— Je suis pratiquement obligée alors ?
— Tu n’as pas aimé ce que je t’ai fait ?
— Si, beaucoup même, c’est mieux que quand je vais chercher les chatouilles, j’ai beaucoup aimé ta langue sur mon abricot, et je suis prête à recommencer s’il le faut, c’était très agréable.
— Alors, pourquoi dire non ?
— Je n’ai pas dit non, mais je suis un peu étonnée.
— C’était la première fois une langue sur ton abricot ?
— Non.
— Je vois que Bérangère vérifie toujours tout, c’est elle la première non ?
— Oui, cet après-midi.
— Pour nous toutes, c’est elle la première, tu verras, c’est une très gentille femme sous ses airs revêches, elle nous aime beaucoup.
— J’ai cru le sentir quand on s’est quitté.
— Tu es toujours prête à recommencer.
— Oui, j’aime bien.
— Marthe, à ton tour.
Une bouche se pose sur mon abricot, je suis surprise, mais je soulève mon bassin pour qu’elle appuie un peu plus. Je me laisse aller, je sais que je vais encore avoir cette merveilleuse sensation dans tout mon corps, je veux en profiter au maximum. Au bout de quelques minutes, mon corps explose pour me faire vivre un extraordinaire moment. Il se calme lentement, des mains courent sur lui, j’aime les sentir glisser sur ma peau. Quand je suis totalement calme, une nouvelle bouche se ...
... pose sur mon abricot. Le cycle recommence, une nouvelle fois, l’onde se répand et me donne à nouveau cette merveilleuse sensation. Il s’est passé plus d’une demi-heure depuis que Louise a commencé, je suis épuisée, je ne sens plus mes membres, je n’ai qu’une envie, dormir. Les filles m’allongent sur un côté, elles me bordent, je sens quelqu’un s’allonger le long de mon corps. J’ouvre les yeux, c’est Louise qui s’est allongée à côté de moi, elle se rapproche et me prend dans ses bras.
— Dors bien ma petite Marie, je suis là.
Je sens sa peau sur ma peau, je n’ai jamais dormi nue, je la regarde, elle comprend mon étonnement.
— Ici, on dort nue, c’est madame qui le veut, elle n’aime pas que l’on dorme avec sa robe.
— C’est pourtant comme ça chez moi, tout le monde dort habillé.
— Comme partout ailleurs, n’oublie pas que madame n’est pas française, elle a une autre éducation. Ça te dérange que je te prenne dans mes bras ?
— Non, au contraire, j’aime bien sentir ta peau contre la mienne.
— C’est la première fois que tu sens une peau de femme contre ta peau ?
— Oui, et j’aime beaucoup.
Sa main se promène sur mes fesses, je sens un frisson sur ma peau, elle passe sur le dos pour remonter le long de ma colonne vertébrale, un véritable tremblement secoue mon corps, elle arrête.
— Ça te fait toujours cet effet quand on te touche la colonne vertébrale ?
— Je ne sais pas, c’est la première fois.
Elle recommence, même réaction.
— Oh oui, cette zone est ...