Nymphomane, moi ? Tome II (11)
Datte: 05/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... c’était André, le lendemain je fus chez lui.
— Je viens, car au téléphone vous m’avez encore menacée méchamment de tout raconter à Daniel, vous n’êtes qu’un vieux salaud !
— Je croyais que tu ne voulais pas me voir ! Allez ne soit pas timide, montre moi ta jolie lingerie sexy, ça m’excite énormément... non, laisse-moi plutôt te déshabiller.
— Je n’y crois pas ! Il va falloir que je me laisse baiser à nouveau par vous, vieux porc !?
Il se mit tout nu, il ne bandait pas, sa bite était dans la normale, un peu flétrie vu son âge. Il ouvrit sans se presser un à un les boutons de mon chemisier et me l’ôta. Il abaissa les bretelles de mon soutien gorge sur mes bras, puis il baissa lentement les bonnets, lorsque le bord de dentelle passa sur mes mamelons qui malgré moi s’érigèrent en deux petits cônes durs, je frissonnai.
Il passa ses mains dans mon dos et dégrafa l’attache, il le tira vers lui, et le laissa tomber... sa bouche se plaqua sur un mamelon et il aspira, il fit subir le même sort à l’autre, puis il me les mordilla, je ne pus m’empêcher de gémir et de frisonner à nouveau. Il s’en aperçut.
— Alors, petite salope, tu aimes que le vieux porc d’André s’occupe de tes magnifiques nichons, caresse moi la queue ! Oh c’est bien tes mains sont douces...
Il me fit reculer, je tombai à la renverse sur le lit. Il se mit à genoux, ses mains en une douce caresse remontèrent doucement de mes mollets en passant sous ma jupe fendue, jusqu’ à la limite de mes bas.
— ...
... J’aime tes jambes gainées avec tes bas fumés, j’aime que tu aies un porte-jarretelles.
La lente reptation de ses mains reprit sur ma peau nue au dessus des bas, en direction de ma chatte.
Son majeur suivit la fente de mon sexe au dessus du fin tissu du string, et il commença à le faire descendre très lentement sur mes cuisses... Malgré moi, ma respiration s’accéléra, ma chatte devint moite, mes seins durcirent. Le petit morceau de tissu glissa lentement le long de mes jambes, ; plus il descendait, plus mon ventre se nouait. Il le sortit délicatement de mes chaussures, le porta à son nez et le huma avec délice. Puis il commença à écarter délicatement les pans de ma jupe fendue, pour découvrir mon sexe. Je commençai à haleter. Il me la quitta.
— Putain, que ta chatte est belle, tu l’as rasée exprès pour moi ? Ça met en valeur tes grandes lèvres merveilleuses...
Il les écarta de deux doigts de sa main gauche, le majeur et l’index de sa main droite s’insinuèrent dans mon conduit vaginal maintenant trempé. Je respirai par saccades, ses attouchements commencèrent à me donner du plaisir.
— Eh bien dis donc, petite salope, il te fait vachement mouiller le vieux dégueulasse d’André !
Il ajouta son annulaire, les tourna lentement plusieurs fois et son petit doigt rejoignit les autres, Il fit entrer et sortir plusieurs fois sa main. Je gémis, elle fut couverte de foutre poisseux, il la lécha avec délice.
— Je n’en reviens pas de te faire mouiller ainsi...
Il était ...