Maggie, Maman et Moi (4)
Datte: 05/11/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: luc_marie92, Source: Xstory
... signifie qu’on est "fou". Ce qui évidemment n’est pas le cas.
Quand je l’ai rappelée, elle m’a dit qu’elle attendait mon appel, qu’elle avait été tourneboulée, c’étaient ses mots. Qu’elle se sentait coupable d’avoir ainsi répondu à cette pulsion, mais qu’elle avait aussi été joyeuse de s’être sentie désirée. Je lui ai dit mon envie de la revoir, de recommencer. Que je la respectais, qu’il n’était pas question pour moi de me servir d’elle ou de la manipuler, mais d’aller un peu plus loin, ensemble, sur les terres de l’audace. Je lui ai rappelé qu’elle m’avait dit cette phrase, "si tu savais..." et que oui, j’avais envie de savoir. Je la trouvais sensuelle, désirable, au naturel. Je lui ai proposé de passer le mercredi suivant...
— Comment voudrais-tu que je t’accueille ? Je ne sais pas trop comment te recevoir... Tu as une envie.
— Comme vous le sentirez, vous ce sera très bien, Madame. J’ai juste envie d’oser de nouveau avec vous.
— Je crois que j’ai envie aussi...
J’avais raccroché avec cette promesse, et au jour dit, je suis arrivé au deuxième étage avec un bouquet de fleurs dans une main. Mon laptop dans l’autre, car j’avais une idée derrière la tête. J’ai sonné. J’ai entendu tourner la clé dans la porte, elle s’est entrouverte et je me suis glissé dans l’interstice. Derrière la porte, Madame Maggie m’attendait. Elle s’était maquillé le visage, un rouge à lèvres rouge vif, les yeux bordés de mascara, je n’y connais rien, mais je sais repérer... Et surtout, ...
... elle était en chemise de nuit. Transparente. Presque le souvenir de celle que j’avais vue jadis. Mais rose, et non bleu pâle. Elle portait une culotte noire. Elle m’a embrassé. Ces premiers mots:
— J’ai pensé à toutes les choses que tu m’as dites. Je me suis avouée que c’était bon d’être désirée, encore. Que tu étais peut-être celui qui pouvait m’aider à apaiser mes tourments.
J’ai plaqué mes deux mains sur ses seins, et ma langue dans sa bouche. Le bouquet tombé à terre, on s’en occuperait plus tard. Le Mac, posé à terre, aussi. On a juste refermé la porte et je l’ai pelotée comme un amant débutant, mais fougueux, je l’embrassais dans le cou, mes mains couraient de ses seins à ses fesses, passaient sur et sous sa culotte noire, je frottais le tissu vaporeux de cette chemise de nuit sur ses tétons.
Entre deux jeux de langues, elle soupire
— Je me suis caressée dix fois plus durant ces deux semaines, que ces cinq dernières années... Si tu savais...
— J’ai envie de vous, Madame. J’ai envie de vos fesses, de votre touffe, de votre bouche de vos seins délicieux, j’ai envie de vos confidences plus encore. Il faut jouer, pour jouir...
Elle a répondu, volontaire et décidée:
— Oui, je veux me mettre en levrette, pour toi... viens me prendre en levrette, et je te dirai un secret.
Elle est allée sur le lit, sur le lit où je l’avais léchée, deux semaines plus tôt. Clairement, elle était beaucoup plus assurée qu’à notre précédente rencontre. Plus directe ! J’ai ...