Caroline et son professeur de boxe
Datte: 04/11/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
profélève,
hotel,
facial,
Oral
fsodo,
extraconj,
Auteur: Antoine75010, Source: Revebebe
... qui est le plus dur… en termes de rapport à l’adultère. Lui était ailleurs, béat… me disant juste qu’il avait adoré me jouir dans la bouche… on a un peu dormi. Après j’ai dû partir en catastrophe à cause de l’heure.
Puis ça a été crescendo quelque temps. On s’est vus chez lui, une fois à son bureau. Il y avait une vraie attirance. Il dégageait quelque chose de complètement sexuel et me disait que moi aussi, qu’on était un couple très sensuel… qu’on dégageait une énergie sexuelle folle… je l’ai cru… je crois qu’on était beaux, même dans la rue… Et il savait me donner du plaisir, d’une intensité incroyable…
J’ai trouvé une forme d’équilibre par rapport à mon couple… j’avais admis que je pouvais faire des choses avec mon amant que je ne faisais pas avec mon mari. Ce qui était dur, c’était de faire l’amour avec mon mari. Je pouvais en avoir envie (je ne voyais pas mon amant plus de deux fois par mois), mais il me paraissait atrocement fade. Ça, ça a été très dur. J’ai cru que mon couple finirait, que je ne pourrais plus continuer à me contenter de sexe, de vrai sexe qu’une ou deux fois par mois… je me refusais à le voir plus… J’en ai parlé à une copine qui m’a dit que tout cela n’était que passager… qu’il fallait laisser le temps au temps, qu’une aventure folle comme ça, souvent faisait long feu… et c’est vrai que ça s’est fini peu après… En fait, on s’est « vus » une dizaine douzaine de fois max. Mais c’est vrai que cette fièvre me manque parfois. Jamais retrouvé cette ...
... fièvre. Cette fièvre qui m’a rendue folle de désir…
Quand je repense à ces deux escapades à son travail et à l’hôtel… juste portée par le désir. Il y a eu cette nuit à l’hôtel… un quatre étoiles à Paris… Mon mari en déplacement professionnel, mes filles gardées par mes beaux-parents. Ce fut probablement le paroxysme de notre complicité. Jouer ce rendez-vous en fin d’après-midi… arriver si apprêtée dans ce bel hôtel… lui qui m’attendait sûr de lui, au bar… C’est un cadre exaltant. C’est pour ça que je parle de paroxysme. Il se dégage de ces endroits une sensualité, un érotisme… nous étions en accord avec ce cadre.
Et en plus ce soir-là il y avait un projet : depuis plusieurs fois il m’avait caressé mon petit trou pendant qu’on faisait l’amour… une fois il avait essayé d’introduire son sexe, mais j’avais refusé… son énorme sexe en moi, par là, moi qui ne pratique presque pas le sexe anal : je ne pouvais pas imaginer. Souvent il me léchait là… il enfonçait un ou deux doigts et c’est vrai qu’il était doué… qu’il me faisait aimer – mais il ne m’avait jamais sodomisée. Là, le projet c’était qu’il me prenne les fesses dans ce palace… c’était notre jeu… on avait évoqué la chose en riant la première fois, puis on avait décidé de le faire… Moi, ça me flattait, je voyais qu’il mourait d’envie de me prendre par là. Je n’ai jamais été une grande adepte de la sodomie. Je le faisais un peu au début avec mon mari, mais lui n’est pas branché là-dessus donc voilà, ces rapports se sont ...