Caroline et son professeur de boxe
Datte: 04/11/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
profélève,
hotel,
facial,
Oral
fsodo,
extraconj,
Auteur: Antoine75010, Source: Revebebe
... j’ai adoré… le parfum de l’interdit absolu… Je me relève enfin… les douleurs dans les genoux… il me sourit « va te nettoyer »… Se retrouver dans les toilettes… face à la glace… j’ai du sperme sur la dentelle de mon soutien-gorge… Là, face à la glace, je prends encore plus conscience de mon forfait… de cette folie qui m’a traversée… J’essaie de comprendre les mécanismes qui m’ont poussée à faire ça. J’ai le souvenir bien précis du goût tenace de son sperme dans la bouche. Qui m’accompagne encore quand je rentre chez moi.
Commence une relation que je dirais « gérée ». Le décalage entre moi et mon mari les jours suivants. Ce vide, cette difficulté à communiquer. Il me faut plusieurs jours pour dégriser vraiment. Lors de ma toute première incartade, le désir de l’homme que j’avais rencontré s’était évaporé. Là, l’attirance sexuelle ne m’a pas laissé beaucoup de répit. J’ai quand même « séché » le cours suivant, en essayant de me focaliser sur mon foyer. Et en essayant d’augmenter l’intensité des rapports sexuels avec mon mari. Mais là, contrairement à la première fois, c’est revenu. On s’est mis à échanger par textos, pendant les heures de bureau. J’essayais de préserver mon foyer en dehors de ces créneaux. Et j’effaçais tous les textos. Le pire, je crois : je pensais à lui, à sa virilité, sa bestialité, au fait qu’il devait être un homme à femme et que la femme (la femelle), c’était moi. Il exerçait sur moi un charme animal… je pensais à sa verge quand mon mari dormait la ...
... nuit et je devais me toucher et me faire jouir en silence en y pensant… jamais connu un désir comme celui-là…
Et puis nous nous sommes revus. Tout d’abord au cours de boxe. On s’est échangé des textos. Et puis le désir a été trop fort, j’ai cédé à l’une de ses propositions : j’ai pris une demi-journée de RTT pour passer l’après-midi chez lui. On a déjeuné dans un restau le midi. On savait pourquoi on déjeunait ensemble. On a parlé dans un état second, lui était détendu, moi sans doute un peu crispée, mais il était charmant… et toujours ces airs… un peu prédateur peut-être, mais il était très beau (c’est un métis), et le corps fin d’un athlète, superbement dessiné, visible sous sa chemise légère…
Il a juste osé un geste au moment où nous attendions pour régler au comptoir, juste avant de quitter le restau : personne ne pouvait le voir, il a juste posé sa main sur l’une de mes fesses, tout doucement, de façon très sûre… très « autoritaire », comme un propriétaire… ça m’a fait un effet fou… Puis dans la rue on a marché, on ne s’est pas embrassés, on n’a plus parlé… il m’avait dit qu’il n’habitait pas loin, on savait tous les deux qu’on allait chez lui.
On a passé deux heures chez lui… ça a scellé le début de notre histoire qui a duré en tout six mois. Il m’a d’abord fait jouir avec sa bouche… il m’avait installée dans son canapé, dans une posture impudique au possible, sur le dos, les deux jambes relevées et la jupe retroussée… en écartant mes jambes et en les regroupant, ...