1. Le jeune homme du train (2)


    Datte: 03/11/2021, Catégories: Gay Auteur: thomas45, Source: Xstory

    ... repris ma fellation, il ne fallut que quelques secondes pour qu’il décharge dans ma gorge plusieurs longs filets de son sperme délicieux que j’avalais directement. Je poursuivis ma tâche jusqu’à ce que son chibre eût fini de cracher son liquide.
    
    Lorsque la dernière goutte toucha ma langue, et que je l’eus avalée, je libérais son engin en lui lançai un regard provocateur :
    
    — Aussi propre que quand elle est rentrée.
    
    Une fois debout, nous nous embrassâmes à nouveau, il cherchait ma bite à travers mon short, laquelle se laissait facilement voir, bien excitée par les événements récents.
    
    En reprenant sa respiration entre deux baisers, il me murmura en souriant :
    
    — T’as des capotes ?
    
    Sans lui répondre, je sortis mon portefeuille de la poche de mon short et en extrayais une capote. Tout aussi silencieusement, il se retourna et me présenta son cul, dont le trou semblait, malgré le jeune âge de mon partenaire, habitué à recevoir des bites.
    
    La mienne était bien dure, je l’enveloppai de latex et la lubrifiai en crachant dessus, avant de pénétrer mon amant. Celui-ci eut un sursaut, mais j’entrai sans trop de difficulté. Entamant mes va-et-vient, ses gémissements se faisaient plus bruyants à mesure que je le pénétrais plus rapidement.
    
    Je vins également rapidement, excité depuis déjà bien longtemps que j’étais. Pourtant nous ne sortîmes pas immédiatement des w.c.. En effet, une fois rhabillés, nous sommes restés un long moment à nous embrasser, sans pouvoir nous ...
    ... arrêter, une puissante alchimie nous reliant.
    
    Toutefois, bientôt le train s’approchait de ma gare d’arrivée. Aussi me résolus-je à faire cesser notre baiser.
    
    — C’est ici que je descends.
    
    — Sérieux ? Moi aussi, me répondit-il en un magnifique sourire.
    
    — Oh quel drôle de coïncidence !
    
    — Enfaite, reprit-il, j’ai une correspondance après. J’enchaîne directement avec un autre train pour Grenoble.
    
    A cette remarque, je ne pus retenir un éclat de rire.
    
    Je lui expliquais que j’étais précisément dans le même cas que lui, à ceci près que je m’arrêterais avant Grenoble.
    
    Aussi descendîmes-nous ensemble du train et rejoignîmes ensemble notre correspondance. En route, j’appris qu’il s’appelait Antoine, qu’il avait 20 ans et était en école de commerce à Paris.
    
    Dans le second train, nous prîmes naturellement deux places côte à côte et nous reprîmes immédiatement notre baiser. Ce train était presque vide, et placé à son extrémité, dès que nous prîmes le départ, nous pûmes reprendre nos ébats sans risquer d’être vus.
    
    Notre baiser avait réveillé nos deux bites. Aussi empoignais-je la sienne, tandis qu’il empoignait la mienne, et nous entreprîmes de nous branler réciproquement. D’abord à travers nos habits, nous retirâmes bientôt nos bas, pour plus de confort, sans cesser de nous embrasser. De ma main libre, je parcourais le dos fin, mais solide d’Antoine. J’avais le sentiment de sentir sa blancheur sur la paume de ma main.
    
    Ne résistant pas longtemps face aux veines ...