Vacances imprévues (1)
Datte: 02/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: adequat14, Source: Xstory
... les deux sœurs avaient fini la nuit ensemble, sans aucun problème ; par contre en arrivant dans le cockpit, la vue a réveillé un picotement. En effet, en raison d’un ardent soleil, les deux filles avaient décidé de faire du naturisme, ce qu’était fréquent, autour de la piscine, mais là, le contexte est différent ; leur faisant remarquer leur tenue, elles se sont mises à rires en me disant :
— On est en mer et personne ne sera en vue avant longtemps, et ce n’est pas la première fois que tu nous vois ainsi ; d’ailleurs, tu devrais en faire autant, tu es blanc comme de l’aspirine.
Pas faux, mais difficile pour moi, car les images de la nuit sont revenues à ma mémoire et les voir ainsi, leurs seins portant fièrement des tétons bien tendus et un mont-De-Vénus, libre de toute toison, a vite fait de me faire de l’effet ; cela faisait longtemps que je n’avais vu un tel tableau et je suis descendu pour cacher une érection qui devenait trop visible.
Le reste de la journée s’est déroulé sans encombre ; ayant fini par répondre à leur avis, moi aussi j’ai quitté le short et petit à petit, j’ai commencé à oublier la situation. A la tombée de la nuit, j’ai laissé le bateau à leur commande et je suis descendu dans ma cabine ; le bruit de leur pas et leurs chuchotements me parvenaient, mais le sommeil a fini par venir. J’avais 4 heures pour moi. Soudain, j’ai senti une présence à mes côtés et me réveillant en sursaut, j’ai découvert Isa, la plus jeune à mes côtés.
— Que fais-tu ...
... là ?
— J’avais envie d’être près de toi, de me sentir contre toi ;
— Ce n’est pas ta place, va rejoindre ta sœur avant qu’elle s’aperçoive de ta présence ici.
— Arrête Jean, tu sais très bien que nous n’avons aucun lien de sang et aussi bien Béa que moi nous avons envie de toi ; nous avons bien vu ton érection ce matin, ainsi que ta réaction cette nuit quand elle t’a rejoint. C’est pour cela que nous voulions effectuer une longue sortie, pour avoir la chance de t’appartenir.
J’avoue que sa tirade m’a laissé sans voix et il me faut faire un grand effort pour réagir.
— Tu te rends contre de ce que pourrait penser ta mère de votre attitude ?
— Arrête, nous savons très bien que vous étiez libertins ; je suis sûre que cela lui plairait de nous voir ainsi réunis ; de plus très souvent, nous t’avons entendu lui faire l’amour et ses cris de jouissance ; nous aussi nous en avons envie.
Je dois reconnaître que ses mots ont réveillé mon émoi, d’autant plus qu’à côté de moi, j’ai une belle femme, totalement nue, les seins arrogants et dont la main baladeuse a commencé à errer sur mon corps, avant de trouver mon mandrin qui ne demande qu’à grossir. Sûre d’elle, elle se penche et m’embrasse sur la bouche, alors que sa main s’est emparée de la mienne qu’elle pose sur son ventre.
Brusquement, elle me chevauche et frotte son pubis contre ma tige cette fois bien tendue et l’attrapant avec sa main, elle la pose à l’entrée de sa grotte et d’une poussée, elle s’empale ; ...