1. Amélie, comme une petite soeur (3)


    Datte: 02/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Benj781, Source: Xstory

    Jour 4
    
    Je me réveille le premier, toujours collé à Amélie. Ma main droite est accrochée à son sein droit, je peux parfaitement en sentir la forme au travers du satin. Il tient parfaitement dans ma main, tendre mais ferme, ça ne semble guère la déranger, elle dort à poings fermés. Mon érection matinale est également bien présente et calée contre ses fesses.
    
    Une voix intérieure me dit « Bravo le père de famille avec la soi-disant petite sœur ! »
    
    J’enlève ma main de son sein en veillant à ne pas la réveiller et touche son front, elle est encore brûlante. Je pars alors à la cuisine préparer le petit-déjeuner. Elle se lève bien après et ne semble vraiment pas en forme. Je lui conseille donc d’aller voir un médecin afin que ça ne traîne pas trop, d’autant qu’elle doit reprendre le boulot demain. Elle revient trois heures plus tard.
    
    — Sans surprise, c’est juste un coup de froid.
    
    — Tant mieux, ce soir, tu seras sur pied.
    
    — En fait, j’en ai un peu rajouté chez le médecin, le stress du mariage, le boulot qui va pas, les larmes, tout ça quoi. J’aurai mérité un oscar, mais en fait ça va déjà nettement mieux. Et donc... je suis arrêté pour toute la semaine !
    
    — Tu es pas croyable. Tu vas faire quoi de ta semaine ?
    
    — Je pensais continuer à profiter de mes hommes si tu es d’accord.
    
    — Pas de problème. J’ai une idée un peu folle, je reviens, t’inquiète pas, j’en ai pour dix minutes.
    
    —... euh OK...
    
    Je descends voir la voisine du rez-de-chaussée, elle possède ...
    ... une maison sur la côte et plusieurs fois m’a proposé d’en profiter en famille. Je lui explique et elle me donne les clés. Il faudra juste que je tonde la pelouse comme deal. Je remonte tout guilleret.
    
    — Regarde.
    
    — Oui ce sont des clés, mais je pige toujours pas.
    
    — On part en vacances ensemble sur la côte.
    
    — Mais t’es cinglé, j’ai pas assez de fringues de toute façon, et pas de maillot.
    
    — Je prépare mes affaires et celle des enfants, et toi, tu vas chez toi compléter tes affaires, tu n’es qu’à quelques kilomètres. On part jusqu’à dimanche prochain.
    
    — OK, génial ! Je file et reviens au plus vite.
    
    Sans surprise, je la vois revenir chez nous avant d’avoir tout terminé de mon côté, naturellement elle m’aide donc à finir les bagages. Je charge la voiture puis nous prenons le départ en début de soirée pour 2h30 de route.
    
    Rapidement, les enfants s’endorment à l’arrière, bercés par les mouvements de la voiture.
    
    Je regarde de temps en temps Amélie et vois qu’elle lutte pour ne pas sombrer. Je saisis sa main, et lui dis de se reposer, il reste encore 1H45 de route, ça ne me dérange pas qu’elle dorme. Nos doigts s’entrecroisent et elle sombra rapidement.
    
    Les derniers kilomètres se font sur une route en mauvais état. Ça ne dérange pas les enfants qui continuent de dormir. Amélie par contre se réveille après que sa tête soit tombée plusieurs fois de l’appui-tête.
    
    — On arrive dans combien de temps ?
    
    — Une dizaine de minutes je pense.
    
    Nous arrivons devant ...
«123»