1. La bourgeoise et le marabout (20)


    Datte: 05/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... veniez plus régulièrement ?
    
    Monsieur Coulibadou réfléchit un peu avant de préciser
    
    — Si vous le souhaitez, je peux voir Madame chaque samedi ici chez vous mais il faudrait qu’elle puisse venir à mon cabinet tous les mercredis. Avec deux séances par semaine, le traitement ne devrait pas durer plus d’un mois. Bien sûr, il n’y a aucun souci pour que vous accompagniez Madame à mon cabinet pour qu’elle soit rassurée.
    
    François lui répond alors
    
    — Je ne serai là que le samedi car il m’est impossible de me libérer en semaine. Mais j’ai pleinement confiance en vous et je suis certain que mon épouse supportera mon absence. De plus, je pense qu’elle sera plus attentive à vos directives si je ne suis pas là. N’hésitez pas à bien la faire travailler, même par des exercices plus pratiques.
    
    Maître Coulibadou sort alors une carte de visite de sa poche et la tend à François à lui disant
    
    — Monsieur de Saint Jouy, appelez-moi quand vous le souhaitez. En fonction de vos attentes, je pourrai peut-être adapter les séances de rééducation avec votre épouse.
    
    A peine maître Coulibadou est-il parti que François s’assoie sur le tabouret, m’attire à lui et ...
    ... me fait empaler sur sa queue en lui faisant face. Il colle sa bouche à la mienne, joue avec sa langue et débute quelques mouvements du bas-ventre tout en me flattant les fesses et le bas du dos. Je ferme les yeux et me laisse aller, cela complète bien les exercices faits avec les accessoires. François me dit alors
    
    — Ce Monsieur Coulibadou me plaît bien. Il est très professionnel mais j’ai vu la luxure et la perversité au fond de ses yeux.
    
    Prenant un air très naïf, je lui réponds
    
    — Tu crois ??? Moi il m’a semblé attentif à mes exercices mais sans arrières pensées.
    
    François me fait changer de position et s’est agenouillé par terre, le buste incliné sur un coussin posé sur le tabouret, que je continue à bien me faire baiser tandis qu’il ajoute
    
    — Tu as raison, l’essentiel est qu’il prenne bien soin de toi comme ta gynéco l’a prescrit. Je lui téléphonerai tout de même pour discuter avec lui, entre hommes !
    
    Sur ce, il déverse en moi de longs jets de foutre et je suis certaine, en constatant son excitation, que mon subterfuge a parfaitement réussi. Maître Coulibadou et mon mari vont devenir de vrais complices, pour mon plus grand plaisir... 
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