1. Ma copine baisée sous mes yeux... par ses propres frères ! (2)


    Datte: 01/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Arthurian, Source: Xstory

    ... me plaquant une main devant la bouche. Mon premier réflexe fut de crier, mais avec la main que j’avais devant la bouche, je ne pouvais pas. Et de toute façon, ce ne serait certainement pas une bonne idée vu le contexte…
    
    — Alors, on aime mater pendant que sa copine se fait baiser ? m’a demandé la personne qui me tenait.
    
    C’était Matthieu, j’ai reconnu sa voix tout de suite.
    
    Alors comme ça il m’avait vu ? Mais alors pourquoi il n’avait rien dit ? Qu’est-ce qu’il manigançait encore ?
    
    — Elle est bonne, hein ? m’a-t-il demandé.
    
    Que pouvais-je répondre à ça ? Rien, déjà, dans la mesure où il m’empêchait de parler, mais en plus c’était ma copine : bien sûr qu’elle était bonne !
    
    — Je suis sûr que tu adores la voir se faire baiser par d’autres. Tu te branlais même en nous regardant, gros porc…
    
    Là encore, qu’aurais-je pu dire, même si j’en avais eu la possibilité ? J’avais encore la queue sortie et dressée, je ne pouvais pas nier !
    
    — Allé continue, je veux te voir juter ! m’a encore lancé Matthieu.
    
    Il a enlevé la main de devant ma bouche, comme s’il savait que je ne dirais rien de toute façon.
    
    — Branle-toi ! a-t-il insisté.
    
    Vaincu, je me suis exécuté : j’ai commencé à faire aller et venir ma main le long de ma verge encore bien raide, puis j’ai regardé en direction de Léon et Sophie qui baisaient encore avec entrain.
    
    — Plus vite, et mets ta main devant. Je veux te voir juter !
    
    Emporté par la scène qui se jouait sous mes yeux, je n’ai pas été très ...
    ... long à venir : j’ai étouffé un râle de plaisir et j’ai laissé les jets de sperme se déposer dans ma main, que j’ai gardée en coupe juste devant mon gland. À la fin, il y avait une bonne quantité de substance gluante et blanchâtre logée dans le creux de ma main…
    
    — Maintenant, bois tout !
    
    — Quoi ?! Mais je…
    
    — Ta gueule et bois.
    
    Que pouvais-je faire ? J’étais de toute façon trop excité par cette humiliation, alors je me suis exécuté : j’ai porté ma main à mes lèvres pour boire tout le jus de mes propres couilles. Ce n’était pas bon, mais la soumission que Matthieu me faisait subir me coupait toute volonté de résistance, même si elle me dégoûtait. J’ai eu un peu de mal à tout avaler, écœuré par le goût et la substance âpre et gluante, mais mon bourreau m’a bien fait me lécher les doigts après cela, pour ne pas en perdre une miette. À peine avais-je terminé que j’ai entendu Léon crier, tandis qu’il se répandait à l’intérieur de sa sœur.
    
    C’est déjà le troisième qui se vide les couilles dans la chatte de ma copine ce soir…
    
    Matthieu m’a alors tiré par le bras, puis il m’a amené vers ses frères. Heureusement, Sophie avait toujours les yeux bandés, je n’aurais pas survécu à cette humiliation dans le cas contraire. En arrivant auprès d’elle, il a posé un doigt devant ses lèvres pour m’indiquer de ne pas parler, alors que son frère était toujours planté en elle. Il me regardait en souriant, l’air encore plus mauvais que son aîné.
    
    — Maintenant, Théo va te lécher la ...
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