1. Voyage et Brassage (3)


    Datte: 01/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Véjipé, Source: Xstory

    ... dis-je. J’ai envie d’une petite sieste. Amusez-vous bien. »
    
    Elles me saluèrent, et je pris donc le chemin du bus.
    
    Hilda avait eu la bonne idée, ou les instructions, je ne sais pas, de choisir un parking certes public et accessible, mais relativement éloigné. Ça faisait plus de marche, mais nous étions généralement tranquilles quand nous étions près du bus, les gens se garant le plus souvent dans le premier parking.
    
    Faisant le tour du bus pour rejoindre les entrées, je m’arrêtai soudain. J’entendais des bruits. Des bruits que j’avais entendus lors de la première nuit de voyage. Mélanie et Jacob étaient en train de faire l’amour dans leur appartement. Ils avaient profité de l’absence du reste de l’équipée. Et franchement, qui les en blâmerait ? Je me demandais si je devais leur signaler ou non ma présence. J’optais pour non. Ils étaient en droit de profiter d’un moment de plaisir et je n’allais pas le leur gâcher.
    
    Me dirigeant vers les portes, j’eus l’impression que mon cœur lâcha. Ils n’étaient pas en train de faire l’amour dans leur appartement. Non. Ils étaient sur l’une de nos tables de pique-nique. Mélanie était nue, allongée sur le dos, tandis que son mari, debout à côté de la table et aussi nu qu’elle, la pilonnait à un rythme régulier.
    
    De là où j’étais, je voyais les seins de Mélanie qui bondissaient au rythme de la pénétration. Jolis seins qui plus est. Pas gros, même plutôt petits, mais en poire, très bien dessinés, et terminés par de mignons tétons ...
    ... bruns.
    
    Je sentis mes jambes se liquéfier quand Mélanie tourna la tête vers moi. Pourtant, elle ne semblait pas spécialement surprise ni gênée.
    
    « Coucou Estéban ! »
    
    Jacob tourna la tête vers moi. Il n’arrêta pas pour autant de pilonner sa femme.
    
    « Ça ne te suffit pas de nous entendre, il faut que tu nous voies, plaisanta-t-il. »
    
    Était-ce ma présence ? En tout cas, ils ont tous les deux joui en même temps, laissant échapper pour Jacob un grognement de plaisir et pour Mélanie un cri étouffé.
    
    Ils se séparèrent. Sans aucune gêne ni pudeur, Jacob me fit face, me montrant sa bite encore dure et luisante de la cyprine de Mélanie. Cette dernière, pas plus gênée ni pudique, s’assit sur la table, m’exhibant son épaisse, mais manifestement bien entretenue toison brune.
    
    « On se demandait quand quelqu’un nous surprendrait, plaisanta Mélanie.
    
    — Vous vouliez être surpris ?
    
    — Oui. J’ai parlé à Jacob du fait que vous nous aviez entendus, Laura et toi. On a adoré le savoir.
    
    — Tu as pourtant bien rougi.
    
    — Mais pas de honte, insista-t-elle. C’est bien pour ça qu’on ne s’est plus privés.
    
    — Ah bon ? On ne vous a plus entendus pourtant.
    
    — Vraiment ? Pourtant on n’y allait pas de main morte, intervint Jacob, simulant le ton de quelqu’un de vexé.
    
    — Vous deviez avoir le sommeil lourd.
    
    — Possible, dis-je seulement.
    
    — Maintenant que tu es là, dit Mélanie, pourquoi ne viens-tu pas avec nous ? »
    
    Je ne fus même pas étonné de la proposition. Ils baisaient en ...
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