1. J'aime me faire plaisir (1)


    Datte: 01/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... saphiques que notre mère n’ignorait pas... Elle nous laissait faire... C’était très bon et nous avons découvert ainsi le plaisir physique en échangeant des caresses et des baisers qui nous emmenaient au septième ciel... Parfois nous utilisions des objets découverts dans un tiroir (pas si secret) de la table de chevet de notre mère... C’est ainsi qu’un jour où elle s’était absentée, nous avions découvert que c’était une coquine qui cachait bien son jeu...
    
    Je ne me considérais pas comme lesbienne, car c’était une chose courante et je savais qu’il existait autre chose. D’ailleurs, notre tante Fatima ne nous avait pas caché que bientôt, nous connaîtrions le ‘’ sexe mâle ‘’, que nos parents cherchaient un beau parti pour nous marier, peu leur importait l’âge de l’éventuel prétendant !!!
    
    Mais j’ai réussi à échapper à cet avenir tout tracé en venant en France faire mes études universitaires... C’est au cours d’une des soirées de rentrée que j’ai découvert un vrai sexe mâle qui m’a déflorée... Cette première fois (comme je pense, c’est souvent le cas) ne m’a pas laissé un souvenir impérissable, mais l’entrée était ouverte... alors les garçons se sont succédé entre mes cuisses... Mais, les caresses des filles et leur douceur me manquaient... aussi, je suis retournée vers certaines de mes condisciples chez qui j’avais deviné des penchants saphiques.
    
    Une fois mes études terminées, j’ai quitté le Cité U et j’ai trouvé à louer un minuscule studio sous les toits au nord de Paris ...
    ... et j’ai vivoté un certain temps en faisant des petits boulots, parfois pas reluisants, mais qui me permettaient de survivre... Puis j’ai fait un remplacement d’une pigiste dans cette revue de charme où je suis restée...
    
    Mais ce n’est pas de cela que je veux vous parler...
    
    Vous imaginez bien volontiers que j’y ai découvert tout un tas d’adresses que les noctambules connaissent : entre les clubs coquins, les saunas échangistes, les soirées privées dont les annonces figuraient dans la rubrique de la revue, je connaissais tous les lieux ‘’ olé olé ‘’ de la capitale et de la banlieue. Et je les ai découverts les uns après les autres : je ne me privais pas de les décrire l’ambiance à mes sœurs restées au pays... Et elles m’enviaient, car elles étaient toujours confinées à la maison, surveillées de près par une sorte de gouvernante en laquelle ma mère avait toute confiance. !!!
    
    Ce qui me gênait un peu lors de la fréquentation de ces lieux, c’est l’obligation pour les mecs de se couvrir... J’aimais tant sentir le foutre gicler au fond de ma chatte ou de mon cul... (eh oui... j’étais aussi devenue une adepte de la sodomie), mais ça, c’était réservé à mes amants ‘’ au long cours ‘’ ! J’étais tranquille, car je prenais la pilule !!!
    
    Bref, j’étais devenue une boulimique de sexe et les amants de rencontre en club, les nanas que je baisais (ou me baisaient...) ne suffisaient pas à assouvir ma soif de jouissance... Pendant quelques semaines, j’ai fréquenté les sex-shops de la rue ...
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