Leila , moi et notre mentor (1)
Datte: 31/10/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: steve1993, Source: Xstory
... sut plus où se mettre, elle se cacha le visage dans ses bras, mais à nouveau, Bachir se montra compréhensif et nous fit comprendre qu’il valait mieux que ce soit lui qu’un autre qui nous surprenne. Il caressa les cheveux de Leila et lui fit même un bisou sur la joue. C’est elle qui leva la tête et le regardant dans les yeux lui dit:
— Et alors ? Qu’est-ce que tu as vu ?
— j’ai vu tes seins, tes fesses et ton petit trou, et aussi ta main sur le zob de Steve, répondit le quinquagénaire.
— et je me suis même branlé en vous regardant, et j’ai joui très fort. Ajouta-t-il.
Leila remit sa tête dans ses bras.
— Tu ne diras rien à personne ? demandais-je à Bachir ?
— Non Steve, je connais vos familles, mais je respecte votre amour, mais en échange, j’aimerais vous demander une faveur.
Leila leva les yeux, prenant son air méfiant.
— quoi donc ? dit-elle.
— Pourquoi ne viendriez-vous pas chez moi le mercredi après-midi, je vis seul et j’ai une deuxième chambre. Vous pourriez vous amuser et moi je vous ferais du thé, et je vous regarderais. Vous seriez tranquille et je pourrais même vous conseiller pour mieux jouir.
— Je suis vierge et je veux le rester jusqu’au mariage avec Steve !! dit Leila surprise et rebutée par la demande.
Je ne savais quoi répondre, mais était enthousiaste à l’idée d’avoir une chambre à dispo, plutôt qu’un bois quand même fréquenté et impraticable en hiver. Je pense que Leila comprit cela en voyant mon regard l’implorant de dire ...
... oui.
— Alors c’est d’accord les jeunes ?
— D’accord, mais tu ne me touches pas Bachir, dit Leila.
— OK, mais si toi, tu veux toucher mon gros zob, tu pourras. On y va ?
Leila acquiesça, et me prit la main.
— Je passe devant, et je laisse la porte de l’appartement entrouverte. A tout de suite mes chéris.
J’avais le cœur qui palpitait à cent à l’heure, Leila serrait ma main, en marchant, elle me dit:
— Tu n’as pas peur qu’il me viole ?
— Non chérie, je le connais depuis longtemps, il vient souvent voir ma mère, et elle a confiance en lui. Même ma grande sœur l’aime bien.
Plus nous approchions de l’immeuble, plus mon cœur battait, et plus Leila s’éloignait de moi pour ne pas paraître trop intime au cas où quelqu’un de sa famille croisait notre chemin.
Bachir habitait au rez-de-chaussée. Nous entrâmes dans le hall, veillant bien que personne ne nous voit, et rapidement je poussai la porte de l’appartement où nous nous engouffrâmes.
Bachir était là, ça sentait le thé à la menthe.
Entrez ! et refermez bien à clé.
Il nous invita à venir voir la chambre qui comprenaient un lit double, une armoire avec un miroir sur la porte centrale et face au lit, et un chevet assorti. Sobre, mais pratique, me dis-je.
— Mettez-vous à l’aise, je vais chercher le thé et une chaise...... Déshabillez-vous, vous serez mieux tout nus.
Il ferma la porte en sortant.
Bien qu’elle soit gênée, Leila explosa de rire.
— Ça va ? lui demandai-je ?
— oui mon ...