Lucie, mon premier Gangbang (2)
Datte: 31/10/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Lucie Dalmo, Source: Xstory
... déjà, les mains se refermaient sur mes crêtes iliaques, la machine se remettait en route et les mouvements bassin contre bassin reprenaient du rythme.
Ça devait faire moins d’une heure que le deuxième groupe était arrivé et j’avais déjà le cul en feu.
5min plus tard, c’était le type derrière moi qui se relâchait dans mes entrailles.
Les autres hommes prirent le relais, je me retrouvais alors à califourchon sur un type qui me pénétrât enfin par la chatte, mais tout de suite, je sentis quelqu’un se positionner pour me prendre en même temps par-derrière. La double pénétration me faisait encore plus ressentir les pressions sur mes muqueuses. C’était comme si leurs bites avaient doublé de volume. La paroi entre mon vagin et mon anus doit être très fine, car j’avais l’impression que leurs queues se touchaient à chaque secousse, comme si elles pénétraient le même orifice.
Le mec derrière moi m’attrapa les bras et les tira en arrière, ce qui força ma cambrure, dévoilant ma poitrine. Celui du dessous en profita pour exercer une pression sur mes tétons qui étaient devenus tout durs, tandis que trois ou quatre mains se joignirent dans la mêlée, me malaxant les seins, les flans et les cotes.
Une troisième queue s’introduisit dans ma bouche, étouffant mes gémissements. J’étais prise en sandwich, totalement à la merci de ces étalons en rûte, comme si j’étais une poupée de silicone.
Je ne pouvais que subir les secousses.
Mon cœur battait de plus en plus vite. Mon ...
... cerveau inondé de stimuli sensoriels se mit à saturer. Mes yeux humides voyaient trouble. Un bourdonnement commençait à s’intensifier dans mes oreilles. J’étais rentré dans un état second. Impossible de savoir combien de temps cela dura. J’en perdais la notion du temps...
Au fur et à mesure, ma gorge, mon vagin, et mon colon n’étaient plus que brulure. Je commençais à vraiment avoir mal. Physiquement comme psychologiquement, j’étais au bord de l’épuisement. J’avais l’impression d’avoir eu plusieurs orgasmes, et que mon corps arrivait à ses limites de l’endurance.
Durant un répit buccal et entre plusieurs râles de plaisir, je tentais un « stop... s’il... vous plaît... c’est... bon ».
Je pensais avoir eu ma dose et être de toute façon au bout de mes forces. A vrai dire depuis le début, eux se relayaient alors que moi, j’étais non-stop sollicitée.
— Quoi ? BB ? Tu es rassasiée ? Sérieusement ? Et bien, mon ange, t’es mal barrée, le soleil est à peine couché... Je suis au regret de te dire que ce n’est que le début de la soirée !
Manifestement, je n’avais pas vraiment réalisé dans quoi je m’étais embarqué. Je me trouvais tout d’un coup folle d’avoir voulu réaliser ce fantasme et j’étais engagée à rester l’esclave sexuel de Monsieur M et ses acolytes pour tout le week-end, enfermée dans ce loft.
Je n’eus pas du tout le temps de souffler et de reprendre mes esprits que je me retrouvais une nouvelle fois en proie à de nombreuses queues en manque de sexe, baisée de tous ...