Je me croyais sage (6)
Datte: 31/10/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mrnestpasla, Source: Xstory
... me lâche et mords franchement. Un gémissement, non un cri. Pas de douleur, pas de surprise, mais de plaisir pur. « Maintenant, tu me les bouffes et tu me baises ». Elle n’a pas à me le dire deux fois. Sa spontanéité, son ton, ses mots...
Je continue de la découvrir en même temps qu’elle se découvre. Je me sens l’homme le plus privilégié et le plus chanceux de la Terre d’être celui qu’elle a choisi pour ça. Je mords, je cisaille entre les incisives, j’aspire de toutes mes forces, je les gobe, je les pince tout en me concentrant sur la liste des verbes irréguliers en anglais pour ne pas jouir à la seconde. Sa chatte, toujours aussi serrée, m’envoie des décharges de plaisir pur le long de la bite et qui remontent le long du dos et je ne sais absolument pas si je vais tenir. À chaque agression sur ses seins, elle fait mine d’en vouloir encore, d’en vouloir plus, plus fort. Je n’en peux plus, je sais que je vais jouir et que toutes les conjugaisons anglaises, allemandes et même latines de mes cours n’y feront rien. Qu’à cela ne tienne, je décide de tout miser sur ses seins.
Mes va-et-vient se font plus en profondeur sans être violents, j’exploite toute la longueur de ma tige pour la pénétrer, je change légèrement d’angle pour stimuler la partie que j’ai compris être la plus sensible de sa chatte et je m’en prends à ses seins. Je mords les tétons et empoigne ses seins pour de bon ; je ne sais pas comment elle fait, mais elle prend son pied comme ça. De l’autre côté, je lui ...
... gifle le sein et là encore, spasme de plaisir. Je recommence, je lui fais une pichenette sur le téton et c’est comme si je lui offrais du plaisir à l’état pur. J’ai l’impression d’être une brute, mais c’est ce qu’elle veut, ce qu’elle réclame. Elle m’agrippe les cheveux, les empoigne à me faire mal et me tient fermement contre sa poitrine.
Je sens sa chatte m’accueillir de plus en plus, mon barreau s’y taille une place et glisse un peu plus doucement, un peu moins comprimé. La sensation est délicieuse. Avec sa spontanéité qui me fait tant d’effet, elle crie presque "Ça, c’est de la grosse bite"...
Pour moi, la messe est dite, il n’en fallait pas plus. Encore un mouvement et je jouis, agrippé à elle, à ses seins comme un noyé alors que ma queue est prise de spasmes qui la remplissent d’un foutre que je sens épais et abondant, tellement que désormais les quelques mouvements que je fais encore font déborder ma semence sur ses cuisses, ses fesses et sur les draps. Je râle comme une bête en rut. Elle me serre contre elle avec une force d’amour et de tendresse. Je sens qu’elle accueille mon plaisir et y trouve le sien, je me sens serein, en sécurité, heureux dans ses bras.
Encore une fois, elle n’a pas joui et je flippe, je doute, je m’interroge. Elle me rassure, elle n’y serait pas arrivée, ce n’est pas moi. Le plaisir est là, mais elle doit apprivoiser ses nouvelles sensations. Elle me dit qu’elle m’aime. C’est la première fois. Et moi aussi, je l’aime.
Ce à quoi je ne ...