Lucie, l'amie intime ! (8)
Datte: 29/10/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: CHARLES-LOUISE, Source: Xstory
Je n’ai pas eu de nouvelles de Lucie pendant un certain temps. A chaque appel téléphonique je tombe sur la messagerie et décide de ne pas laisser de message !
Elle me rappelle un dimanche matin.
— Comment vas-tu ? Cela te dit de venir déjeuner jeudi ?
— Pourquoi pas, je n’ai pas bougé de la maison depuis plus de deux semaines !
— Je te laisse amener le vin, le dernier était excellent. Je t’embrasse. A jeudi !
Et elle raccroche.
Le jour dit, je me présente chez Lucie qui m’accueille par un baiser sur la bouche.
— Contente de te voir !
— Moi aussi, le temps m’a semblé long depuis notre dernière rencontre !
— Pareil pour moi, mais il fallait que je réfléchisse, que je mette de l’ordre dans mes idées. Viens, mets-toi à l’aise, installe-toi au salon, j’amène l’apéritif !
Je quitte mon manteau et ma veste.
Elle revient presque aussitôt avec un plateau garni.
Nous discutons de tout et de rien en prenant l’apéritif côte à côte sur le canapé.
— Passons à table, nous pourrons continuer à évoquer nos souvenirs ou plutôt mes souvenirs, les tiens, je les connais !
Nous avons déjeuné, vidés la bouteille de bordeaux que j’avais apportée. Elle aime le vin et l’apprécie. Nous prenons le café à table. Elle propose un digestif.
— Tu sais, j’ai la route à faire !
— D’ici que tu partes, tu l’auras éliminé, et puis s’il le faut, je te ramènerai.
— Viens avec moi ! dit-elle prenant la bouteille de cognac et deux verres.
Je la suis, elle ...
... m’emmène vers sa chambre.
— On s’allonge et c’est tout, d’accord ? On sera mieux pour discuter. Tu peux te mettre un peu à l’aise si tu veux !
Je retire mes chaussures.
— Tu peux, si tu veux, retirer ton pantalon. Il ne se froissera pas !
Tout en parlant, elle retire son pull et sa jupe. Elle est en combinaison rouge, légèrement transparente ce qui me permet d’apercevoir sa culotte et ses bas noirs.
— Sage, hein !
Elle se met sous les draps, remonte son oreiller et s’installe appuyée contre la tête de lit.
Je fais de même.
— Où en étions-nous la dernière fois ? me dit-elle me tendant mon verre de cognac.
J’ai son histoire bien en tête, mais je fais semblant d’hésiter.
— Je crois que c’était la soirée où tu t’es fait sodomiser !
— Ah oui ! J’ai eu mal pendant deux, trois jours. Bizarrement, malgré cette petite douleur, j’ai envie de recommencer.
— Marc n’a rien changé. Il jouit dans ma chatte et aussitôt vient me faire sucer sa bite pleine de jus. Mais rien d’autre. Nous allons à Paris plus souvent et nous passons nos soirées chez nos amis.
— Un jour Marc m’appelle dans son bureau.
— Daniel me demande si nous voulons les accompagner samedi prochain chez des amis à eux qui organisent une soirée entre couples. Ils se connaissent bien. Nous serons une quinzaine, des gens très bien.
— Qu’en penses-tu, toi ? Je présume que la soirée sera mouvementée, mais pour toi qui ne participes pas cela ne va pas poser de problème ?
— C’est ce j’ai dit à ...