1. 4 - Saut d'homme


    Datte: 05/08/2018, Catégories: hh, hbi, hplusag, grossexe, hépilé, Oral préservati, hdanus, hsodo, Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe

    ... un peu en bouche même si le goût n’est vraiment pas sympa, ni la glisse, du reste.
    
    — Donne-moi ton petit, que je te remplisse comme tu aimes !
    
    Je m’installe à genoux en travers du canapé, les pieds par-dessus l’accoudoir, la tête sur les coussins. À l’aide du gel il s’enduit la queue, puis en dépose dans ma raie une bonne quantité. Mes mains écartent mes fesses au maximum pour ouvrir mon trou à son dard qu’il vient appliquer.
    
    — Viens en moi comme chez toi, je te livre mes reins ; fais-moi jouir s’il te plaît, ne sois pas brutal. J’ai besoin de douceur pour jouir.
    
    Et son gland se positionne avec précision, puis sous la pression s’insinue lentement en moi en repoussant mes chairs. Le gel facilite la progression, et le sentir glisser par petites vagues me donnent des sensations incroyables.
    
    — Mon cul te réclame, tu sens comme il s’ouvre pour toi ? Oh oui, c’est bon ; tout doucement.
    
    Pat est concentré à ne pas me décevoir, conscient que trop de témérité pourrait si facilement me déchirer. Il préfère jouer la prudence et la patience. Il m’a plusieurs fois expliqué sa frustration de ne pas pouvoir s’introduire facilement, et d’avoir essuyé tant de défaites, qu’avec moi, il tient… à ménager sa monture.
    
    — Tu es bien, je ne te fais pas mal ? s’inquiète-t-il.
    — Tu ne te rends pas compte des sensations que tu m’offres ; je n’ai jamais rien ressenti de tel. C’est grandiose, encule-moi encore, je veux sentir tes couilles contre moi. J’adore ta queue, quand tu es en ...
    ... moi. Prends-moi… ne me fais plus attendre !
    
    Sous de savants petits va-et-vient, toute résistance cède, complètement sous le charme de son imposant visiteur. Ma main passe entre mes jambes pour lui agripper les couilles et lui faire comprendre qu’aucune marche arrière n’est possible. Je souffle fort sous la pression, pousse très fort sur sa queue.
    
    — J’aime cet instant, me sentir serré… c’est tellement rare ! Je vais te faire bouger, tu vas aimer. Tu m’as bien fait jouir à peine, je tiendrai le temps qu’il faudra pour te combler comme tu le mérites.
    
    Ses couilles sont contre moi, la pression est à son paroxysme. Mon ampoule est dilatée à exploser, et c’est à chaque fois cette sensation de distension qui se transforme… en pur plaisir. Des contractions de sa hampe me font vibrer, je ne suis plus qu’une masse nerveuse au service de notre plaisir.
    
    Il vient se pencher sur mon dos, m’enserre dans ses bras, et me murmure à l’oreille :
    
    — Redresse-toi, je voudrais que tu t’assoies sur moi, tu vas danser pour moi.
    
    Je m’en remets à lui, il est ma source de plaisir. Ses deux mains m’agrippent alors sous les cuisses, et, bien qu’il reste planté en moi, nous nous retrouvons par miracle lui assis sur le canapé, et moi le chevauchant. Plus empalé que cela n’est pas possible, je prends rapidement appui sur mes bras pour soulager mon fondement, entamant quelques ondulations. Ses mains passent sous mes fesses, il m’accompagne dans cette danse en me parlant crûment, me rappelant de ...
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