Histoire de famille, d'amitié et d'amour (17) - Histoires de Sexe

Histoire de famille, d'amitié et d'amour (17)

... de nous faire jouir.

Laurence veut me dire qu’elle a très envie de baiser avec moi. Mais elle n’a pas le temps de me le dire car Marie-Hélène, qui est assise à côté d’elle, se penche, l’embrasse et en profite pour lui passer un radis dans sa fente, puis elle le trempe dans mon sperme.

— Un radis au sperme de Philippe et mélangé à la mouille de Laurence c’est trop bon ! dit Marie-Hélène.

Elle regarde Laurence, lui fait un sourire, un clin d’œil et mange le radis.

— En parlant de mélanger ton sperme et ma mouille, j’ai un truc à te demander Philippe, me dit Laurence. J’ai envie que tu me baises. Je veux sentir ta queue et ton sperme en moi.

— Depuis le temps que j’ai envie de t’offrir ma queue et mon sperme ! lui réponds-je.

— Comme tu as envie d’être seule avec lui vous pouvez aller dans notre chambre, lui dit Laure.

— Oh merci c’est gentil, lui répond Laurence.

— Tu sais, c’est aussi la chambre de Philippe, lui précise Marie-Hélène. C’est pour que tu comprennes bien que tu peux baiser avec lui ou l’une d’entre nous sans aucune gêne vis-à-vis des autres. Et si tu mouilles sur nos draps ce n’est pas grave. Bien au contraire, ce soir je m’endormirai avec ton odeur, ajoute-t-elle avec un petit clin d’œil.

Je me lève, prends la main de Laurence et l’emmène dans la chambre. Elle n’en revient pas que ce moment arrive vraiment. Et moi non plus. Pendant cette année nous aurions eu plusieurs occasions de baiser, mais nous n’avons rien fait. Pourquoi ? Nous ...

... ne pouvons pas l’expliquer.

Arrivés dans la chambre, nous nous prenons dans les bras l’un de l’autre et nous nous embrassons tendrement.

— Philippe c’est tellement bon d’être dans tes bras, te sentir contre moi. J’en ai rêvé depuis qu’on s’est revus et que je suis entrée dans la famille.

— Moi aussi ma chérie. Je vais enfin pouvoir te pénétrer et éjaculer en toi.

— Oh ouiii et sentir ton sperme couler en moi !

— Mais tu pourras aussi le boire.

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’elle se met à genoux, prends ma queue dans sa bouche et commence à me sucer. Ma queue commence à être bien raide. Laurence se relève, m’embrasse et nous nous allongeons sur le lit. Je passe ma main entre ses cuisses et sens que sa chatte est déjà toute mouillée. Tellement mouillée qu’elle en met sur les draps.

— Oh mince, j’en ai mis sur les draps ! s’exclame-t-elle.

— Marie-Hélène t’a dit que ce n’est pas grave. Bien au contraire, ce soir avec Marie-Hélène et Laure on se couchera au milieu de ta mouille et on aura ton odeur.

— Alors fais-moi mouiller pour en mettre partout sur les draps, me répond-elle avec son magnifique sourire.

Je commence donc à la masturber. Au début avec un doigt, mais elle me dit que je peux en ajouter deux de plus. Je la masturbe donc avec trois doigts. Elle mouille tellement qu’ils glissent très facilement. Ça l’excite encore plus, et de plus en plus de taches humides apparaissent sur les draps.

— Putain que c’est bon Philippe de sentir ...