Filles sensuelles mais familières (1) - Histoires de Sexe

Filles sensuelles mais familières (1)

Bonjour je m’appelle Hugo, j’ai 19 ans au moment où j’écris cette histoire. Je vis dans une maison individuelle avec ma mère, Carole, qui a 45 ans et ma sœur Julie qui a un an de plus que moi. Mon père nous a laissés depuis déjà longtemps et nous avons appris à vivre à trois sans que ma mère n’ait rencontré un nouvel homme.

L’histoire que je vais raconter s’est déroulée il y a 3 mois.

Nous avions appris à mieux nous connaître, et de ce fait nous étions beaucoup plus libres, en tout cas pour ma mère et ma sœur c’était certain. Elles se baladaient dans la maison dans des tenues légères qui me rendaient fou, comme si je n’existais pas. J’avais énormément de mal à cacher mes érections et elles devaient certainement parfois les remarquer quand j’étais avec elles.

Il n’y avait pas de tabou dans notre famille, ma mère n’hésitait pas à apparaître dans le salon en petite culotte et ma sœur se mit vite à le faire aussi. Et de plus leurs culottes n’étaient en fait que des tangas ou des strings, et certains suffisamment fins et transparents pour qu’on devine l’absence de poils pubiens. Petit à petit, le haut qui se résumait généralement à un simple T-shirt ou débardeur a fini par disparaître assez souvent lui aussi, surtout lors des chaleurs estivales. Elles se disaient bien plus à l’aise, mais moi je pouvais pas tenir en place devant ce déballage de rondeurs.

A cet âge-là j’étais encore puceau, donc la moindre chose m’excitait, j’avais du mal à ne pas répondre à l’appel de ...

... ces deux paires de fesses et de seins qui se baladaient dans la maison. d’autant plus que ces fesses avaient l’air bien fermes et que du côté poitrine, même si elles n’étaient pas trop volumineuses, celle de ma sœur pointait bien droit en pommes et celle de ma mère n’avait pas trop souffert de deux allaitements et se présentait en deux poires appétissantes.

Je pense qu’elles se doutaient de l’effet qu’elles me faisaient, et d’ailleurs un jour tout cela a débordé. Nos relations de famille ont pris une autre tournure.

Un dimanche soir du début juillet où je regardais la télé dans le canapé du salon, Julie passa devant moi à plusieurs reprises dans sa plus petite tenue maintenant habituelle, un string-ficelle. Je ne pouvais pas m’empêcher de commencer à bander tout en regardant ma sœur car je n’avais pas encore eu de relation avec une fille. J’aurais voulu toucher son joli cul et ses beaux seins. Mais c’était ma sœur et pour moi je n’en avais pas le droit.

Pourtant ma mère qui était assise à côté de moi dans la même tenue que ma sœur et qui me regardait du coin de l’œil n’était apparemment pas du même avis. Au moment où ma sœur alla dans sa chambre, ma mère se pencha vers moi doucement et me chuchota :

— Tu la trouves belle, n’est-ce pas ?

— Oui bien sûr, Julie est très belle.

— Et je vois qu’elle te fait de l’effet !

— Euh, oui...

— Je pense qu’à ton âge, tu dois parfois te donner du plaisir, non ?

— Euh oui, ça m’arrive, mais...

— Ne t’inquiète ...