Dessein immoral (1) - Histoires de Sexe

Dessein immoral (1)

Chapitre 1 : Les vidéos.

Si Harry avait bien une fierté dans la vie, il s’agissait de sa fille. Jennie était tout ce dont un père de famille monoparentale pouvait rêver. D’abord, elle avait toujours été une enfant autonome qui ne causait pas le moindre ennui et qui n’avait jamais d’exigences ridicules et extravagantes – comme le fils de son collègue qui avait exigé d’avoir un tatouage au visage à l’âge de seize ans. En plus d’être calme, Jennie était l’une des personnes les plus intelligentes qu’il connaisse, et quel père ne serait pas fier d’avoir une fille en tête de classement dans tout le département ? Et finalement, sa fille avait une beauté peu commune. Il n’affirmait pas cela parce qu’il était son père et que donc à ses yeux elle était mieux que le commun des mortels.

Jennie était dotée d’un corps svelte dont chacune des courbes venait accentuer la finesse et la délicatesse de sa taille. Les reliefs généreux de sa poitrine et de son cul venaient mettre en valeur ses jambes graciles et son ventre ferme. Un sentiment étrange venait étreindre sa poitrine dès lors qu’il la voyait déambuler dans son short de pyjama et son débardeur mal ajusté. Peut-être était-ce un simple sentiment de fierté, mêlé à une pointe de désir ? Quel être humain n’aurait pas eu envie d’honorer cette belle peau nacrée des plus douces caresses ? De rares fois, les courbes entêtantes de sa fille lui apparaissaient pendant une séance de masturbation. Il repoussait automatiquement l’idée, mais ...

... parfois, il ne pouvait s’empêcher de se demander le goût qu’aurait sa peau sous sa langue. Est-ce qu’il serait doux et légèrement sucré comme celui de sa mère ? Ou plutôt âcre et suave comme le sien ?

Oui, Jennie était incroyablement désirable et même son père devait faire usage de toute sa retenue pour ne pas succomber à son charme. Pour cela, il avait mis en place un système de « soulagement » plus au moins quotidien pour que le manque ne le pousse pas à commettre l’irréparable. C’est ainsi qu’il se retrouvait à subtiliser l’ordinateur portable de sa fille – le sien avait rendu l’âme, presque chaque soir pour se soulager devant divers contenus pornographiques – ses favoris du moment étaient les hentais non censurés et les histoires érotiques.

Paradoxalement, c’est en essayant tant bien que mal de repousser ses pulsions et d’atténuer ses désirs qu’il avait engagé l’engrenage. Tout avait commencé quand Jennie était partie se coucher à vingt-et-une heures à peine, toute débraillée à cause des révisions intenses qui occupaient tout son temps. Ses cheveux décoiffés dans un simulacre de coiffure post-coïtale, son débardeur mal ajusté et son short particulièrement moulant avaient réveillé le désir brûlant que son père s’exténuait à faire taire. Voyez-vous les examens de fin d’année approchaient et donc il arrivait bien trop souvent que Jennie accapare l’ordinateur jusqu’à tard dans la nuit, par conséquent Harry n’avait pas pu se soulager depuis dix jours déjà. Ce qui expliquait ...