-
Echange de SMS avec ma femme (2)
Datte: 21/10/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Monsieur K, Source: Xstory
... souhaita une bonne journée, puis reprit sa route en faisant signe à son collègue que tout était bon. Mais le deuxième policier n’était pas motivé à l’idée de partir et laisse un peu d’avance à son collègue. Il était assez grand, 1m90 je dirais, brun, le teint de peau bronzé hispanique je pense, et son uniforme laissait deviner un corps entretenu. Il dégaina sa matraque d’un coup sec, ce qui te fit sursauter, puis la passa entre tes jambes pour remonter à la bordure de ta jupe. Il nous lâcha, plein de confiance, "je pense que madame cache quelque chose !" Puis sur ses mots, il commença à remonter le bord de ta jupe tout doucement, de plus en plus haut. Je retire mon pied d’entre tes jambes, en pensant que tu allais resserrer les cuisses, mais à ma grande surprise, tu n’en fis rien. Tu restas immobile, le fixant dans les yeux pendant qu’il remontait ta jupe qui est maintenant à la lisière de ta vulve... < 🥵 >alors que fais-tu : 1 - tu repousses la matraque violemment 2- tu le laisse faire <2 >Étrangement tu laisses faire, je ne sais pas si c’est de la peur ou de l’excitation, mélange des deux peut-être. La matraque continue son chemin entre tes jambes puis fait passer ta jupe au-dessus ton écrin. L’homme en uniforme s’incline vers l’arrière pour mieux observer le spectacle qui s’offrait à lui, ton minou lisse et encore luisant de notre aventure précédente. Le policier esquisse un sourire et dit : “ croyais moi je sais reconnaître une femme qui a pris son pied !”. ...
... Je restais immobile devant la scène car je sais que cela te et me plaît beaucoup. Il fait promener sa matraque autour de ton bassin puis te demande de te tourner. Tu me regardes dans les yeux comme pour avoir mon consentement alors que je ne pouvais pas faire grand-chose. Tu t’excuses puis entame un 180 degrés, ta jupe est toujours maintenue au-dessus tes hanches. Une fois tes fesses présentées, il t’ordonne de mettre les mains contre le mur puis de te cambrer. Une fois en position il me dit : Monsieur veuillez encarter les fesses de votre femme !” Je m’exécute. Je pose mes mains de part et d’autre de ton cul puis j’ouvre tes fesses et offre une vue imprenable sur ta rondelle. “J’étais sur ce que j’avais vu. Le jeune homme était bien en train de vous prendre en levrette. Mais je n’étais pas sûr du trou. La plus aucune hésitation, il reste même encore des preuves, conclut-il. Je jetai un coup d’œil et effectivement l’endroit du délit était encore bien ouvert et brillait toujours. Cette vision commença à faire réagir mon sexe. Puis il se rapprocha de toi tout en laissant son outil de travail glisser le long de ta raie. Puis il colla son entrejambe contre ton cul que je maintiens toujours bien ouvert. Il se penche vers toi du côté opposé d’où je me tiens. À cet instant, cette scène je ne peux pas la voir. Il approche sa main de ton visage puis te présente un bout de papier près de ta bouche et te murmure quelque chose à l’oreille... > Toujours chaude ? <Oui >1 - tu ne me ...