1. Tati Colette (1)


    Datte: 20/10/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Linguine, Source: Xstory

    Gare Saint-Charles. Enfin Marseille. Il fait chaud. Très chaud. Je descends l’escalier vers le métro. Je pense à ma tante avec enthousiasme. Je vais bientôt la voir pour de vrais.
    
    Y’a quelques jours j’ai rêvé d’elle :
    
    " ... Nue dans la salle de bain, son cul, ses gros seins, flasques, aussi beaux que des pis de vache. Elle est là. Je la vois de la chambre, en caressant mon zizi. La salle du bal, la salle de bain. Je la vois tourner tout au tour du lavabo, son dos, son cul, son dos, son cul, son trou du cul.
    
    La porte est "antre"- ouverte. Elle se douche et se touche. Le son de l’eau me fait bander. Je prends mon sexe à pleine main. Je la vois qui se savonne. Avec son gant qui passe entre ses fesses ; avec l’éponge qui passe entre ses mamelles et l’entrecuisse. Elle est ce nu que les peintres, aimant la mature, ont très envie de croquer.
    
    Il est 6h20. Je suis réveillé par son radio-réveil. Ensuite, elle s’attarde dans la cuisine et boit son café. Pour enfin se diriger dans le couloir qui mène à la chambre que je partage avec ma cousine (nous venons de fêter nos dix huit ans à quelques jours prêts). Elle ouvre sans faire de bruit la porte, un peu, juste un peu comme si de rien n’était. Elle nous regarde dormir. Elle a laissé la porte ouverte et rejoint la salle de bain juste en face.
    
    En prenant sa douche elle se caresse avec le jet d’eau puis se pénètre avec le manche de sa brosse à cheveux. De temps en temps elle lance un regard vers la chambre. C’est sûr, elle ...
    ... sait que je la regarde. Ma tante est très salope. Ensuite elle dévisse le pommeau de la douchette et s’enfonce le tuyau dans l’anus. C’est un feu d’artifice au bout de quelques secondes. Il est plein de caca.
    
    Puis elle s’assoie sur le tabouret, les cuisses ouvertes à 180 degrés. Elle est en train de se raser le sexe, face à moi. Dans l’à peine ombre je me lève pour mieux la voir et me branle. Sa chatte, enfin nette et dépourvue de poils, me fait jouir. Ma semence est sur la porte de la chambre.
    
    Ensuite elle sort de la machine à laver le linge de ma cousine. Elle entre dans la chambre, nue, ses seins qui pendent jusqu’au nombril. Elle se penche, son cul face à moi pour ouvrir les tiroirs de la commode. Elle prend son temps, comme un ralenti. Comme un ralenti qui dit : « alors il te fait bander mon cul Stéphane ? Je suis sûre que tu vas te branler toute la journée dans les w.c. en y pensant. » C’est ce que je fais.
    
    Fin du rêve. Qui me laisse un peu sur ma faim..."
    
    J’arrive à Marseille pour un concours. De circonstance. C’est un prétexte. Il n’y a pas de concours. J’ai raconté des sornettes à ma mère. Elle n’aurait jamais voulu que je passe quelques jours chez ma tante. Elles sont fâchées. Sombre histoire d’héritage. A cette heure, je suis à Clermont-Ferrand, trois jours, dans une formule 1 pour passer le soi-disant concours. J’ai 18 ans. Je fais ce que je veux.
    
    J’y suis. Je suis face au portail de mon enfance. Il faut sonner. Je sonne. Et rien. Je sonne à nouveau. ...
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