Elena à genoux (4)
Datte: 20/10/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
... autrefois méprisés l’accès à ses parties intimes en ouvrant les cuisses, soulevant les bras, se cambrant.
Manipulée comme une poupée, elle observait ces visages rubiconds, grimaçants, étrangement transformés par les circonstances, presque méconnaissables. Les anciens prétendants, devenus prédateurs, révélaient un visage nouveau, carnassier pour certains et comme affolé pour d’autres. Ces visages familiers, autrefois associés à des banalités, des politesses machinales le plus souvent, crachaient maintenant des mots grossiers ou demeuraient clos et bouillonnant. Plus que par la stimulation brutale, désordonnée de ses zones érogènes, Elena était troublée par l’avidité des hommes de son bureau et, comme c’était déjà arrivé précédemment, par son propre abandon. Le contraste entre ce dernier et son attitude habituelle de dédain stimulait son plaisir. Elle savait depuis peu avec certitude ce qu’elle pressentait jusqu’alors sans oser le reconnaître : elle jouissait d’être humiliée, elle jouissait plus de cela que de toute autre chose, que de toute caresse.
Un des hommes glissa deux doigts dans sa bouche, ce qui fit intervenir Tom.
— Pas de ça les gars, on reste en surface. Pour pénétrer, faudra payer. Vous connaissez le deal : 5 pour cent de votre salaire et vous pourrez la niquer une fois par jour ouvré. Allez hop, fin de l’échantillon, on s’éloigne de la marchandise.
Les collègues se détachèrent de la jeune femme à contrecœur. L’un d’eux, Pierre, pinça un peu ...
... violemment son téton avant de reculer en marmonnant : « tu ne perds rien pour attendre petite connasse ».
Elena, seins débordant du soutien-gorge, jupe relevée, culotte écartée à l’entrejambe, s’apprêtait à se réajuster quand Tom l’arrêta.
— Reste comme ça, putain. Mets-toi à 4 pattes et va jusqu’à Kevin.
Les hommes se tournèrent tous vers le jeune stagiaire dont ils avaient oublié la présence. Puis ils virent la belle Elena s’accroupir et franchir en marchant comme une chienne les quelques mètres qui la séparaient de lui, seins et fesses à la vue de tous.
— Ne bouge pas et laisse-le te baiser la gueule maintenant. Le stagiaire déboutonna son pantalon, sortit sa queue, attrapa la tête d’Elena entre ses mains et pénétra sa bouche comme s’il se fut agi d’une chatte. Vigoureusement secouée, la jeune femme s’appliquait à demeurer bien campée sur ses mains et ses genoux, vigilante à rester dans l’axe afin de faciliter les va-et-vient de Kevin au rythme qui lui convenait.
Cambrée, elle dressait vers les hommes un cul ouvert qui ne tremblait pratiquement pas à la différence de ses nichons qui balançaient en tout sens.
En moins d’une minute, tout fut terminé. Le très réservé et courtois Kevin, à qui Elena avait eu affaire pour la signature de sa convention, qui avait donné à cette dernière, en dépit de leur faible différence d’âge, du « je ne veux pas vous déranger Madame », du « merci infiniment Madame », rugit entre ses dents : « Bouuuuuuffe putasse ! »
Son visage ...