1. L'avilissement d'Aurore - Partie 08


    Datte: 18/10/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byalexandredelafressange, Source: Literotica

    ... à perdre définitivement le respect de ton mari et l'amour de tes parents?
    
    Se tenant toujours figée devant son tourmenteur, elle ne peut empêcher une larme de couler sur sa joue. Elle sait qu'elle n'a pas le choix et va devoir accepter cette demande.
    
    - Alors? demande Pivert, croisant ses jambes et se penchant en arrière dans le fauteuil du salon.
    
    Satisfait de la réponse positive, il donne un coup de fil, et trois jours plus tard, Aurore se retrouve sous une couverture sur la banquette arrière de la voiture de Pierre. Seule sa tête dépasse. Elle est sans aucun vêtement, les poignets et les chevilles menottées. Un gag dans sa bouche l'empêche d'émettre le moins son, tandis que le plug anal avec le crin de cheval est solidement enfoncé entre ses fesses.
    
    Sa valise est restée chez son voisin car, visiblement, lui a-t-il expliqué, elle n'a besoin ni de vêtements de rechange ni d'effets personnels ni de nécessaire de toilette pendant son séjour à la ferme. Tout lui sera fourni. Une fois qu'ils ont quitté les limites de la ville et tourné sur l'autoroute, il lui bande les yeux afin qu'elle n'ait aucune idée de l'endroit où se situe le domaine agricole. Seul son portable, en possession du conducteur, sera remis à l'arrivée audit Paul. Progressivement, l'automobile commence à s'engager sur des routes plus tranquilles. Une fenêtre a été ouverte, faisant entrer les odeurs de la campagne. Après environ deux heures de trajet, la voiture s'arrête enfin. Pivert enlève le bandeau, ...
    ... retire la couverture et sort l'employée en la tirant par ses mains menottées avant de la mettre debout dans ce qui semble être un « mas » au crépi blanc.
    
    L'exploitation paraît être composée d'une vaste propriété contenant plusieurs hectares de champs et de prairies, d'un enclos, de plusieurs étables et d'un grand étang, le tout entouré de bois denses. Il n'y a pour elle aucun moyen de savoir où elle se trouve!
    
    C'est donc ici que je vais vivre pendant les prochains jours, soupire-t-elle, effondrée.
    
    La porte principale s'ouvre et un vieil homme trapu, vêtu d'un chapeau de paille, d'une chemise à carreaux, d'une salopette et de bottes en caoutchouc, s'avance vers eux en brandissant une canne faite en bambou. Il est suivi par deux jeunes hommes d'à peu près le même âge que la subalterne. L'un deux semble un peu attardé mentalement.
    
    Paul les présente comme ses deux fils, Dimitri et Simon, et ils échangent brièvement des plaisanteries avec Pivert sans même faire attention à la présence de la subordonnée. Même si son estomac est noué par la peur, elle est désormais habituée à être regardée dans le plus simple appareil. Soudain, ils la fixent et le patriarche assène d'un ton sec : - Voici notre nouveau bétail! dit-il, en la toisant avec un mépris à peine dissimulé. - Joli petit lot! Ce sera un plaisir de l'éduquer totalement.
    
    - Je pense que je vais me mettre au travail rapidement, sourit le cultivateur, qui s'empare de la trique et porte un coup cinglant sur l'une des ...
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