L'été de mes 18 ans (1)
Datte: 18/10/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Fredhdf, Source: Xstory
... m’embrassant sur la joue, avec un sourire presque coquin.
L’histoire se répète donc. Maman est près de moi, jambes entr’ouvertes, nuisette remontée. Son souffle me laisse penser qu’elle est endormie. Je m’approche d’elle. Je pose mes deux majeurs sur les deux bosses de sa poitrine, me confirmant que ses seins sont libres sous le vêtement. Rien de tel pour que mon sexe durcisse au diapason de ses tétons qui semblent réagir sous mes doigts.
Ma main descend doucement, tout doucement pour ne pas la réveiller, atteint le bas de sa nuisette, puis remonte le long de sa cuisse. Sa peau frissonne, mais ses yeux ne bougent pas. C’est presque sans surprise que mes doigts atteignent sa toison, non recouverte d’un sous-vêtement comme hier.
Je me dis que je suis totalement fou. Mes doigts continuent leur chevauchée fantastique et atteignent ce lieu interdit par lequel je suis né.
Son sexe est humide, deux de mes doigts viennent fouiller cette chatte maternelle. Le souffle de maman se transforme en imperceptible gémissement, ses yeux restent clos.
Je retire mon short, mon caleçon. Mon membre est dressé, je peux percevoir le flux sanguin qui l’alimente, de la hampe jusqu’au gland.
Impossible de ...
... combattre mon désir. Je me place pour me retrouver face à elle, queue triomphante dressée, et arrive au seuil de sa vulve. La première pénétration me procure un plaisir immense, je la renouvelle en retenant mon souffle. Le vagin de maman est brûlant. Dort-elle vraiment ? Peu importe. Sa bouche est ouverte, elle semble jouir.
J’accélère la cadence, je n’en peux plus. Je sens ma semence prête à la remplir.
Par un ultime réflexe, je retire mon sexe de sa caverne, m’écarte et me vide dans la seconde qui suit sur le côté du lit, mon geyser venant atterrir sur le sol avec un bruit sourd. Ma jouissance est extrême, je n’entends plus le bruit du film ni le souffle rauque de maman.
Je replace sa nuisette correctement, après avoir gravé pour l’éternité dans ma mémoire son sexe béant ouvert à ma vue. Sa main droite a bougé, venant recouvrir son bouton d’amour. J’ai l’impression qu’elle entreprend de se caresser dans son sommeil.
J’utilise mon tee-shirt pour nettoyer le parquet. Encore sous le coup de l’extase, je regagne ma chambre.
Jamais ma mère ne fera ensuite allusion à cette fabuleuse soirée.
Quant à moi, ce dépucelage aura enfin fait de moi un homme. Je ne la remercierai jamais assez.