1. Ma belle soeur Christine (4)


    Datte: 18/10/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Brunov8064, Source: Hds

    ... commencé à glisser à l’intérieur de sa chatte jusqu’au prépuce. Dans un gémissement de lionne, Christine s’est rapidement redressée pour le sortir de la cave interdite.
    
    Voilà mon supplice, elle se pétrissait tout le corps de plus en plus fort, tirait sur ses tétons, attrapait son clito, les maltraitait dans une violence maitrisée, elle grognait en penchant la tête en arrière.
    
    A plusieurs reprise ma queue pénétrait sa chatte et ressortait immédiatement, jusqu’au moment où elle n’en pouvait plus et s’empala brutalement sur mon membre et se soulagea les cuisses en se posant littéralement sur mon bassin. J’ai explosé sans aucune maitrise de mon corps, je sentais mon sperme jaillir en elle par saccade. Son cri m’a laissé penser qu’elle avait aussi eu un début d’orgasme. Elle jeta ses mains de chaque côté de ma tête et releva son bassin jusqu’à faire sortir ma queue. Cette nouvelle position avait eu pour effet d’amener ses seins à mon niveau tout en me permettant de voir le travail au niveau de nos sexe.
    
    J’ai attrapé ses deux seins et je mordillais ses tétons, elle recommença à s’empaler sans délicatesse, à chaque visite de sa caverne je giclais au plus profond de son ventre, et j’avais le droit à un cri de plus en plus prononcé, elle jouissait au fur et à mesure de mon lâché de semence. Je n’ai jamais éjaculé autant de fois en suivant, j’avais l’impression ...
    ... que ça ne finirait jamais ! Aux derniers mouvements j’étais totalement à sec, mais elle en voulait encore, alors elle se redressa de nouveau et tout en continuant ses mouvements de va et vient, se branlait littéralement le clito de sa main gauche et un téton de sa main droite. Même si je ne pouvais plus jouir ce spectacle des plus hard imposait à ma queue de rester bandée.
    
    Elle jouissait et jouissait encore jusqu’à s’effondrer sur moi. J’ai eu à cet instant une nouvelle sensation, ce corps à corps véritable était encore nouveau pour moi.
    
    Bien sûr, j’ai pu toucher, palper et caresser son corps à plusieurs reprises depuis le début de nos ébats, mais je n’avais jamais eu l’occasion d’être collé ainsi.
    
    Je sentais ses seins s’écraser contre ma poitrine. Je ressentais encore quelques soubresauts que faisait son bassin. Je sentais mon sexe toujours en elle vibrer et le mélange de nos fluides couler entre nos jambes. Ça y est j’étais dépuceler.
    
    Je l’entourais de mes bras pour lui caresser le dos jusqu’à la raie de ses fesses, je lui passais la main dans les cheveux, elle ronronnait.
    
    Ses seins écrasés débordaient sur les côtés, je prenais un réel plaisir à la caresser, quelle douceur !
    
    Elle finit par reprendre ses esprits et se fit rouler sur le côté. Notre « désemboîtement » me fit lâcher un râle et une cascade de jus s’étalait sur les draps.
    
      
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