1. Tout un accueil


    Datte: 31/01/2018, Catégories: fhh, voisins, intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, occasion, Auteur: Celestia124, Source: Revebebe

    ... déformaient leurs pantalons respectifs. Je bus une gorgée de bière et en renversai un peu sur moi. Marc attrapa une serviette et m’épongea avec application faisant, malgré moi, darder les pointes de mes seins au travers du fin tissu de mon chemisier. Je respirai bruyamment et laissai Marc me retirer mon vêtement mouillé et je me retrouvai à demi-nue devant eux. Tandis que Marc s’occupait de ma poitrine, Vincent vint s’occuper de mon entrecuisse à travers mon pantalon. Les jumeaux me retirèrent le reste de mes vêtements et en firent autant avec les leurs. Vincent se mit à lécher ma chatte.
    
    — Hummmmmmmmm ! Ho oui ! Lèche-moi bien… c’est bon.
    
    Marc, quant à lui, se redressa et me donna sa queue à sucer ; ce que je me mis à faire avec application, caressant la base de son gland avec ma langue tout en douceur avant de passer à ses couilles que je suçotai l’une après l’autre avant de le prendre finalement tout entier dans ma bouche.
    
    — Oh oui ma belle, continue comme ça, c’est fou ce que tu me fais du bien ; et toi mon frère, elle est bonne sa petite chatte ?
    — Délicieuse, Marc, tu devrais essayer.
    — File-moi la place alors, ordonna Vincent.
    
    Marc s’exécuta et la langue experte de Vincent vint prendre la place de celle de Marc. Il ne me léchait pas comme Marc le faisait, mais il fouillait ma chatte dans les moindres recoins de mon intimité dardant sa langue au fond de mon con, me rapprochant un peu plus près de l’extase mais arrêtant avant que je jouisse. Quelques ...
    ... minutes après, il se redressa et vint frotter sa queue sur mon clitoris. Personne ne m’avait jamais fait ça auparavant.
    
    — Oh oui ! Continue, j’aime ça Vincent, ta queue sur ma chatte, parvins-je à articuler entre deux gémissements
    — Dis-moi Justine, t’aimerais que je te l’enfonce au fond de ta jolie chatte ? Ou encore, est-ce que je me contente de me branler et de jouir sur tes seins ? Supplie-moi de te baiser !
    — Oh oui ! Baise-moi, je t’en supplie. Je suis à votre merci ce soir, à toi et à ton frère. Vous pouvez faire de moi tout ce que vous voulez ; je suis votre salope ce soir, dis-je pour le convaincre.
    
    Je sus que j’avais réussi quand il se positionna à l’entrée de mon con.
    
    — Vraiment tout ce qu’on veut ? me demanda-t-il.
    — Oui, tout ce que vous voudrez, répondis-je
    
    Il s’enfonça en moi d’un seul coup de rein, m’arrachant un cri de plaisir et de contentement,
    
    — Oh oui, ta chatte est douce et serrée à souhait, ce sera un vrai délice quand on te prendra les deux en même temps, mon frère et moi.
    
    Il dut lire la peur dans mes yeux car il rajouta :
    
    — Tu n’as pas le droit de te défiler, salope ! Tu nous as dit qu’on pouvait faire de toi tout ce qu’on voulait et ne t’en fais pas si tu es encore pucelle de ce côté-là, je serai très doux avec toi.
    
    Il redoubla d’ardeur sentant que j’allais bientôt jouir, caressant du même coup mon petit bouton d’amour au rythme de ses mouvements ce qui ne manqua pas de me faire jouir. De ce fait, je me laissai prendre à leur jeu ...