Elisa (6)
Datte: 16/10/2021,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... la maison, toute la famille est naturiste, ce n’est pas un problème pour elle. J’ai remarqué qu’elle ne portait rien sous sa jupe quand elle s’est penchée sur le lit pour étaler ses fringues. Je dois avouer que ses superbes fesses ne m’ont pas laissée indifférente. Un peu avant midi, elle arrive dans le salon, je la regarde un peu mieux. Elle est magnifique, très grande, un mètre soixante-dix-huit, jambes infinies, ventre plat, très beaux seins hauts et ronds, fesses à damner un saint, et pubis lisse. Elle n’est pas très bronzée, mais nous sommes au début de l’été.
— Dis donc, tu es toujours cul nu sous ta jupe, il me semble n’avoir rien vu dessous tout à l’heure.
— Oui, je ne porte plus de culotte, je n’ai jamais aimé ça, mais papa voulait que j’en mette au lycée.
— Ça me parait assez normal, on ne se balade pas cul nu au lycée.
— Surtout que je déteste les pantalons, j’aime avoir les cuisses libres.
— Tu es vraiment de la famille, toutes les femmes sont comme nous, elles aiment avoir le corps le plus libre possible, donc, pas de soutif ou de culotte, à poil sous des fringues amples.
— Exactement comme moi.
Je vais dans la cuisine pour terminer ce que j’ai commencé, elle me suit. Je coupe un concombre quand je sens ses bras m’enlacer, elle se colle à moi, je sens son pubis sur mes fesses, ses seins sur le haut de mes omoplates, elle pose ses lèvres sur mon cou.
— Tu sais que tu es toujours aussi belle Elisa.
— Merci ma chérie, mais que ...
... fais-tu ?
— Je t’enlace parce que j’aime enlacer une femme nue et que je suis sûre que tu aimes être enlacée par une femme nue. Je sais que tu aimes toujours les femmes.
Je suis surprise par cette affirmation, d’où sort-elle ça ?
— Comment es-tu au courant de ça ?
— Très simple, je t’ai vu avec mamy il y a deux ans quand je suis venu pour ton anniversaire. Vous vous aimiez dans ta chambre, j’ai trouvé ça très beau deux femmes qui s’aiment. Je vous ai regardées pendant un long moment, vous étiez magnifiques. Je lui en ai parlé quand je l’ai vue la semaine dernière, elle est venue voir papa, et elle m’a dit que ça durait toujours depuis vos dix-huit ans.
— C’est exact.
— Moi aussi j’aime les femmes, et j’ai envie d’explorer un peu le corps de ma grande tante.
Je me libère et me retourne.
— Oui, j’aime les femmes, mais jamais dans la famille.
— Pourtant, c’est papy qui t’a dépucelée, comme c’est toi qui l’as dépucelé.
— Encore Virginie ?
— Oui, elle m’a raconté, ton dépucelage et son dépucelage, elle en pleure encore d’émotion quand elle se souvient, et c’est ta belle-sœur.
Je dois dire que moi aussi, les larmes me montent aux yeux en pensant à ce merveilleux moment. Elle le remarque.
— Toi aussi à ce que je vois.
Je me ressaisis.
— Oui, la femme de mon frère, mais pas ma sœur, nous n’avons pas le même sang.
— Et avec moi, tu as le même sang.
— Oui.
— Sauf que tu n’as pas le même sang que papy, vous n’êtes même pas du même groupe ...