1. Anne et ses Amours


    Datte: 14/10/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alain Dex, Source: Hds

    ... à la caresser et ses mains se promenaient maintenant furtivement sur tout son corps. De ses genoux, une main remontait à l’intérieur de sa cuisse vers sa féminité, vouée au sacrifice.
    
    Elle mouillait. Cette senteur de ciprine l’enivra comme celle d’un miraculeux renouveau. Il y avait si longtemps. Elle devait en profiter, à tout prix.
    
    - Il a cessé de pleuvoir. Profitons de la piscine.
    
    - Je n’ai pas apporté mon maillot de bain.
    
    - Idiot.
    
    Ils ne furent pas long à se déshabiller. Tout nus, ils sautèrent dans la piscine. L’eau de la piscine était à température idéale et elle n’empêchait pas les attouchements, mais Anne estima qu’un confort supplémentaire devenait nécessaire.
    
    -Viens, allons nous relaxer dans la chambre.
    
    Ils sortirent de l’eau. Elle le prit par sa bite et le conduisit à l’intérieur, dans la chambre. Une fois allongés sur le lit, elle le caressa d’abord, puis, se laissa caresser en gémissant de plaisir et en indiquant par l’intensité de ses réactions les endroits qu’elle souhaitait qu’il caresse avec plus de volupté.
    
    De temps en temps, elle lui caressait la queue, pour l’encourager et aussi pour s’assurer qu’il bandait encore. Elle se dit que c’était le moment.
    
    - Viens.
    
    Souffla-t-elle et elle écarta les jambes. Il s’introduisit prudemment. Quelle grosse queue, pensa-t-elle. Quelle chance. En effet, elle sentait bien la pénétration, la lente progression. Mon Dieu, qu’il allait loin. Il allait jusqu’au fond. Il commença un délicat mouvement ...
    ... de va-et-vient. C’était merveilleux.
    
    Puis le mouvement s’accéléra. Il devint progressivement brutal, sauvage même. A chaque coup de butoir, la bite de cet amant miraculeux, touchait le fond de son vagin. C’était encore mieux. Cela ne pouvait plus durer, elle hurlait de plaisir. Anne sentait qu’elle allait jouir. C’était sportif. De longue durée. Elle jouit la première. Un orgasme long et bruyant. Et lui, il envoya, dans l’instant qui suivit, une fameuse giclée de sperme. Quelle jouissance pour cette femme de soixante ans. Elle se sentit épanouie. Elle avait fait bander avec vigueur et éjaculer une bonne fois en elle, cet homme qu’elle connaissait à peine et qui se révélait, dans son terrain de jeu à elle, un redoutable combattant. Ils se reposèrent un peu, dans les bras l’un de l’autre. Puis elle se dégagea. Cela lui avait donné soif.
    
    - Veux-tu aussi quelque chose à boire, mon trésor ?
    
    - Je ne dis pas non, pour une bière bien fraîche, mon trésor…
    
    Elle se leva et se dirigea, toute nue, vers la cuisine. Réginald demeura dans le grand lit, à se relaxer, patiemment couché sur le dos, les mains jointes sous la nuque.
    
    Il entendit vaguement des bruits de bouteilles que l’on décapsule. Puis, tout-à-coup, des chuchotements. Toute une conversation à voix basse et qui se prolongeait. Réginald n’était pas du genre à s’alarmer. De toutes façons, une conversation à voix basse, dans le contexte, c’était bizarre mais pas alarmant. Il était légitimement intrigué.
    
    Son indice ...