1. Intime inconnue, reviens-moi !


    Datte: 14/10/2021, Catégories: fh, inconnu, amour, Oral pénétratio, fsodo, occasion, Auteur: Thierry59, Source: Revebebe

    ... moi. Affamée. Assoiffée. Avide de mon corps.
    
    Mes épaules, ma bouche, mon ventre, mon sexe érigé en obélisque. Tout passa sous le contrôle de tes mains et de ta langue.
    
    Ta masturbation affola tout de suite mon membre. Ta main semblait faite pour couver ma queue de ses caresses et quand elle l’attira vers ta bouche, je ressentis l’ondulation jusqu’au bord de mes fesses. Du coup, mon corps se cabra pour accélérer le cheminement vers cette fellation que tes yeux, tes lèvres tendues et tout ton être me promettaient comme merveilleuse.
    
    Je ne fus pas déçu ! Ta bouche se concentra d’abord sur mon gland. Je le voyais disparaître, englouti, puis ré-émerger, inondé de ta salive, puis être absorbé à nouveau. Pendant ce temps, ta main coulissait encore sur ma tige, la faisant gonfler toujours plus. Et tes lèvres glissèrent à leur tour pour rejoindre tes doigts.
    
    J’accompagnais alors le mouvement de coups de hanche, attentif à respecter le rythme de tes succions. Même si sucer, ce n’était plus le mot. Tu aspirais dorénavant. Et si tu n’avais pas relevé tout à coup la tête vers moi, je n’aurais certainement plus résisté longtemps.
    
    — Retiens-toi !
    
    En disant cela, tu changeais de position, calant ton dos contre les oreillers et dessinant de tes jambes une arabesque impudique. Je t’ai rejointe en me glissant contre toi. On prit le temps de s’embrasser sensuellement. On avait faim l’un de l’autre.
    
    Et, déjà, un de mes doigts retrouvait le contact de ton intimité trempée, ...
    ... tandis que ta main reprenait possession de mon gland.
    
    Quand mon sexe s’engouffra dans le tien, guidé par tes gestes, nos regards se défiaient une nouvelle fois. J’agrippai ta jambe la plus proche pour la maintenir levée afin de mieux coulisser en toi.
    
    Nos deux corps s’emboîtaient parfaitement. Nos désirs s’enrichissaient l’un l’autre.
    
    Ta bouche entrouverte, tes griffes plantées dans les draps, ton corps arc-bouté, tout en toi appelait à l’extase.
    
    À un moment, je te besognais activement. À un autre, notre rapport redevenait lascif et profond. Puis, on s’enlaçait encore et encore, comme si chacun de nous voulait entrer dans le corps de l’autre.
    
    Tu criais, je gémissais. Tu gémissais, je perdais haleine. Tu perdais pied, j’étais aux anges.
    
    Alors que tu jouissais une nouvelle fois, je me retenais encore, me rappelant ta demande.
    
    Le temps que tu atterrisses, je me délectais de tes seins, de ton ventre, de ta mouille et je revenais à ta bouche pour te faire goûter ton suc.
    
    D’une pichenette sur mon nez, tu me signifia vouloir changer de position. À mon tour d’être sur le dos. À toi de me chevaucher.
    
    Alors que tu t’installais à ton poste, j’admirais ton corps. Il m’excitait au plus haut point. J’avais l’impression que toute ma force se concentrait dans ma queue.
    
    Tu devais t’en rendre compte puisque tu la prenais d’assaut pour la tendre vers ton sexe. En une fois, mon gland disparut, englouti. Puis, ce fut le tour de toute ma verge. Je sentais ta chatte se ...