1. Dérhumage


    Datte: 04/08/2018, Catégories: f, fh, fhh, hplusag, fplusag, jeunes, inconnu, bain, collection, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, Oral préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe occasion, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... battant, impatiente de découvrir la surprise qui lui était réservée.
    
    Ce qu’elle vit dépassa tout ce qu’elle aurait pu imaginer. Au fond, sur une table, trônait un somptueux bouquet. Les rouges et les ors des corolles se combinaient harmonieusement, alors qu’une odeur envoûtante s’en dégageait et flottait dans la pièce. Pour compléter le tableau, le diable d’homme avait tressé un ravissant lit de fougères, de fins branchages et de pétales au milieu de la pièce, en jouant sur les dégradés verts de manière très élaborée. Le tout bordé d’une rangée de bougies. Un vrai lit nuptial de fée, si l’on peut se fier à ce qu’en disent les contes.
    
    La mise en scène toucha profondément Ariane, même si, objectivement, ce genre de couche ne sied pas vraiment à un postérieur humain. Malgré l’étrange désir que l’homme faisait monter en elle, elle s’imaginait mal allongée sur des branchages, cuisses écartées, profondément lutinée par un fleuriste romantique pendant que des épines de roses s’enfonçaient dans ses fesses.
    
    Elle sentit soudain sa présence dans son dos, mais ne bougea pas. Conquise par son charme un peu désuet et la douceur de ses attentions, elle lui laissa l’initiative. Il posa alors un très léger baiser sur sa nuque. Puis il se dirigea vers le centre de la pièce pour étendre une pièce de soie au centre du lit. Il prit enfin son visage entre ses mains et, plongeant ses yeux dans les siens, lui demanda de le laisser faire d’elle la plus belle et la plus odorante fleur ...
    ... de son éphémère bouquet. Ce qu’elle vit dans son regard acheva de la convaincre, elle lui fit signe de commencer sa cérémonie.
    
    Il la déshabilla en prenant tout son temps pour la contempler au fur et à mesure qu’elle lui laissait dévoiler ses charmes. Il l’aida ensuite à s’allonger sur le drap de soie, avant de s’agenouiller à ses côtés. Elle observa une fois encore son visage avant de fermer les yeux et de s’en remettre à sa délicatesse. Ce fut alors une symphonie de caresses, de baisers, d’effleurements, d’attouchements et, par-dessus tout, de parfums. Tout avait été parfaitement calculé pour qu’à chaque mouvement de son corps quelques pétales se froissent et libèrent des senteurs raffinées. Il lui sembla même que certaines caresses n’étaient pas seulement offertes pour son seul plaisir, mais pour inciter à un mouvement particulier auquel correspondait une rangée de pétales habilement disposées.
    
    Saoulée par les odeurs, excitée par la douceur et la précision de son doigté elle finit par perdre toute notion de la réalité et s’abandonna entièrement aux mains chaudes qui parcouraient librement son corps. Plus le temps passait, plus le fleuriste prenait de l’ascendant sur elle, se comportant comme s’il lisait dans ses pensées et percevait ses désirs les plus secrets. Il sut si bien éloigner tout reste d’inhibition, qu’elle accepta sans la moindre hésitation de s’ouvrir à lui lorsqu’il posa sa bouche sur son bas-ventre et s’appliqua à la faire jouir avec une exquise ...
«1...345...20»