Comment je suis devenue la femelle d'un autre (1) - Histoires de Sexe

Comment je suis devenue la femelle d'un autre (1)

... te sécher chez moi ! Il y a un bon feu dans la cheminée ! Touché par sa gentillesse, complètement trempé, transi de froid, j’acceptai l’offre de cet homme. Je fis le tour de la voiture et m’installai dans la voiture.

— Je suis désolé, je salope votre voiture !

— T’inquiète pas, elle en a vu d’autres !

Il démarra la voiture, et, tout en le dévisageant discrètement, je constatai qu’il devait avoir facilement la cinquantaine, que c’était une force de la nature ! Il avait un vieux t-shirt qui laissait apparaître un torse velu et puissant. Il avait des bras comme mes cuisses. Il portait un short qui moulait un entrejambe proéminent ! Je sentis à nouveau la boule dans mon ventre ! C’est à ce moment que nous nous retrouvâmes à la hauteur de la fourche ! Il arrêta sa voiture et me dit !

— Voilà ! Moi j’habite sur la gauche au fond du chemin à un kilomètre à peu près ! Soit je te laisse là sous l’orage, soit tu viens te sécher chez moi !

Il se mit alors à sourire en ouvrant de grands yeux. Il commença à se masser la bosse. J’étais tétanisé et en même temps je ressentais une excitation intense. Ne me voyant pas réagir, il décida pour moi et emprunta le chemin qui menait chez lui. Pendant qu’il conduisait, je ne pus m’empêcher de regarder en direction de son short et là je constatais avec effroi qu’il avait à force de se masser le matos un énorme gland qui dépassait. J’avais la bouche ouverte de stupéfaction ! Il s’en aperçut et me dit :

— C’est une impression ou tu ...

... as l’air intéressé par ma queue ? Tu sens le cul ! Je l’ai senti dès que tu es entré dans la voiture. C’est un véritable miracle pour moi. J’adore les culs et les bouches de mecs et j’ai pas baisé depuis des mois !!!

J’avais le cerveau en bouillie. J’adorai l’entendre me parler comme ça et en même temps j’étais mort de trouille. Et s’il me prenait par le cul et que je n’aime pas ça ! J’adore l’idée dans mes fantasmes, mais dans la réalité... Par contre, l’idée de le toucher, de le branler, de le sucer m’excitait vraiment. Tout en roulant doucement, il prit ma main gauche et la plaça sur son gros gland. Il sut quand je commençai à caresser le gland délicatement que j’étais consentant ! Il arrêta sa voiture et, se penchant vers moi, se à mit m’embrasser en rentrant son énorme langue dans ma bouche. Quel pied ! J’étais en train de devenir sa femelle. Je lui aspirai sa langue en guise de soumission, tout en étalant une bonne quantité de jus qui sortait de son gland ! Dans un moment de lucidité, je pus quand même lui dire que c’était ma 1ère fois et que j’avais peur de me faire prendre par le cul !!! Tout en redémarrant, il me dit !!!

— Tu n’imagines pas le pied que je vais prendre à te dépuceler !!! Mais pas de panique ! Je ne te forcerai pas si tu n’aimes pas ! Déjà, tu as l’air d’aimer toucher une autre bite que la tienne ! Tu devrais aimer me sucer. Et je pense que le reste viendra tout seul !

— J’en ai très envie lui dis-je, tout en prélevant une partie de son jus que ...