1. L'éducation de Juliette (9)


    Datte: 05/10/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    Ma cousine se marie. Nous sommes invités.
    
    Elle habite le sud de la France. Elle veut que je la coiffe et la maquille pour son mariage.
    
    Je descends chez elle plus tôt, pour faire des essais de coiffure.
    
    Comme à son habitude Jean me prépare pour le voyage. Il aime choisir les tenues que je porte, toutes plus sexy les unes que les autres.
    
    Pour ce voyage, il choisit une mini-jupe très courte, un chemisier qui laisse entrevoir mes seins. J’ai droit à un lavement (il faut toujours être prête), puis rosebud et pince sur mes tétons. Pas de culotte.
    
    Jean m’accompagne. Nous trouvons un compartiment vide.
    
    C’est un train de nuit. Je vais dormir, le voyage sera moins pénible.
    
    Jean me tient compagnie en attendant l’heure du départ. Il a fermé la porte. Il me câline, me prend dans ses bras. Sa bouche s’empare de la mienne, sa main part à la découverte de mon téton qu’il roule entre ses doigts. Je ne résiste pas à cette caresse, mes cuisses s’écartent malgré moi.
    
    J’entends une cavalcade dans le couloir. 4 militaires essoufflés arrivent devant la porte du compartiment.
    
    - C’est libre ?
    
    - Oui répond Jean.
    
    Ils s’installent. Jean continue ses caresses, j’essaye de l’en empêcher, mais il insiste, il dévoile ma poitrine. Puis ce que je redoute arrive.
    
    - Remonte ta jupe.
    
    Je rougis, les militaires ont entendus, ils sont soudain très intéressés.
    
    - Non, j’ai honte
    
    - Fais ce que je te dis, montre leur ta petite chatte rasée.
    
    Alors rouge de honte, je ...
    ... remonte ma jupe, dévoilant ma chatte.
    
    - Écarte les cuisses, montre-leur comment tu mouille.
    
    C’est vrai, je suis trempée. Je m’exécute.
    
    Le départ est annoncé. Jean m’embrasse, puis il se retire.
    
    - Amusez-vous bien.
    
    Le train roule. Mes voisins hésitent sur la conduite à tenir, bien que ma tenue et les paroles de Jean leurs laissent le champ libre.
    
    Je sais, depuis qu’ils sont arrivés dans le compartiment, qu’ils vont me baiser. Jean n’est pas là pour m’y pousser, mais, si mon esprit se refuse à cette éventualité, mon corps est en attente. Jean a bien réussi son coup. Il a fait de moi une vraie salope avide de sexe.
    
    Un des gars pose sa main sur ma cuisse, à la limite de ma jupe. Je laisse faire. Un autre attire mon visage, sa bouche se pose sur la mienne, sa langue force mes lèvres. Je cède, répondant fougueusement à son baisé. C’est parti. Une main s’empare de mon sein, tire sur les pinces, les tords.
    
    Ceux qui ont lu mes premiers récits savent que je ne résiste pas à cette caresse. Mes cuisses s’écartent, ma chatte baille, La main sur ma cuisse remonte jusqu’à ma moule.
    
    Deux doigts me pénètrent, me branlent. J’ai honte de me conduire comme une chienne, mais c’est plus fort que moi, j’ai besoin de bites, de foutre.
    
    On m’écarte les cuisses, une bouche remplace les doigts, une langue s’insinue entre mes lèvres, les écarte, me lèche. La bouche suce mon clito, le mordille, déclenche un premier orgasme.
    
    Une bite force ma bouche, je l’avale heureuse de ...
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