1. les éjaculatrices (1)


    Datte: 04/10/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: theo246leretour, Source: Xstory

    ... grosse chatte mouillée se trouvait devant mes lèvres et je commençai à la lécher et à la mordiller pendant qu’elle avalait littéralement mon sexe. Dans la pièce, le silence était tel qu’on n’entendait que des bruits chuintants, entrecoupés de grognements de satisfaction. Soudain, je la sentis se contracter et j’ouvris la bouche en grand.
    
    Une puissante coulée de liqueur épaisse sortit de son sexe, suivie de deux autres moins importantes. Ma bouche était complètement pleine de cette crème odorante. J’étais tellement excité que je me mis à trembler de tous mes membres et éjaculai violemment entre les lèvres tièdes d’Elisabeth. Je dégustai lentement son foutre, gorgée par gorgée et trouvai le goût un peu trop parfumé, mais délicieux. Nous restâmes longtemps dans cette position et je me mis à rêver à la première fois où, très excité, j’eus un tel tremblement. Une sonnerie de téléphone me tira de ma rêverie. Je revins sur terre. Elisabeth se leva en maugréant, lâchant mon sexe qu’elle avait conservé en bouche. C’était sa pin-up d’adjointe qui l’appelait pour lui dire que la pharmacie était pleine de clients et qu’elle avait besoin d’aide. Elisabeth s’habilla rapidement. Elle avait les yeux cernés, mais portait avec élégance un tailleur gris qui faisait ressortir ses superbes fesses. Elle me tendit un gros dossier :
    
    —’C’est le journal intime de ma famille. Tu dois le lire avant notre prochaine rencontre.’
    
    Elle m’embrassa longuement et me donna les clefs de l’appartement. ...
    ... La nuit même, je lus d’une traite le journal intime de la famille d’Elisabeth. Il y avait toutes les écritures de la famille et je dois dire que c’était gratiné. Il y en avait pour tous les goûts : de l’érotisme de bon goût à une obscénité délirante. Le moins que je puisse dire, c’est que toute la famille ne semblait vivre que pour le sexe. Certaines pages étaient illustrées de photos ou de dessins d’un très grand réalisme. Mon sexe fut raide pendant la toute la lecture. J’étais tellement excité qu’à un certain moment, je partis tout seul. Je relus le livre plusieurs fois et c’est très excité qu’un matin à 7 h 30 précises, je grattai à la porte de la réserve de la pharmacie. La porte s’ouvrit et je me trouvai toute bête, le livre à la main devant une Solange plus snob que jamais qui me toisait avec sa morgue habituelle. Je m’excusai et voulus me retirer quand elle aperçut le livre.
    
    C’est pour la patronne, me demanda-t-elle ? Surpris, je répondis que oui. Elle voulut le prendre et comme je refusai, elle insista et me l’arracha des mains. Quel empoté celui-là, dit-elle !Madame Elisabeth est chez une amie malade et elle me claqua la porte au nez.
    
    Je rentrai chez moi très ennuyé. Deux jours passèrent. Elisabeth devait être rentrée. N’arrivant pas à dormir, je me levai de bonne heure et me trouvai à 7 heures devant la porte de la réserve. Je frappai et ce fut Solange qui m’ouvrit. Elle n’est pas rentrée, me dit-elle et comme je voulais m’éclipser, elle me prit par le bras et ...
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