-
Ce soir je suis sa chienne
Datte: 31/01/2018, Catégories: Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: pompier37, Source: xHamster
... de commencer à la faire sortir du confort des chambres d’hôtel dans lesquelles je la besogne déjà au gré de mes pulsions. Je crains plus que la peste qu’elle ne finisse par se complaire dans une banalité adultérine indigne de tout le potentiel que je pressens en elle. Il ne faut pas tarder à peu à peu la mettre sur le chemin de la dépravation à laquelle j’aspire la voir, chemin au fil duquel je ne doute pas qu’elle s’épanouira. J’en veux pour preuve qu’elle n’a pas manifesté la moindre réticence à s’affubler selon mes désirs. Bien plus que provocante, je la voulais indécente et obscène, telle une Pute prête à l’usage qui n’aurait qu’à minima caché la marchandise. Je la voulais telle qu’elle fasse bander à en rompre un âne mort ou que le moindre vieillard ou grabataire ne songe qu’à se ruer sur cet appel à la saillie. Et je dois dire que je ne pas du tout déçu, elle est exactement comme je veux qu’elle soit. Du coup dès son arrivée c’est moi qui déjà trique ferme. J’ai des idées bien arrêtées quant à son devenir à mes côtés, ou plutôt à mes pieds. Pour autant, l’expérience me dicte de prendre mon temps et de ne pas brûler les étapes. Lui masquer les yeux pour cette sortie est tout autant pour la surprendre, faire travailler son imaginaire, et lui donner de l’assurance dans ces autres lieux où je compte progressivement la mener. Tout à ma conduite, je ne résiste pas à l’envie d’explorer les trésors à peine cachés et de lui ordonner d’en déballer une autre partie, ne ...
... voulant pas être le seul à profiter de ces richesses. Ma main s’immisce entre ses cuisses à la fois par envie et par la volonté de contrôler son état, si tant est que j’ai besoin d’être rassuré à son sujet. Je ne cherche même pas à jouer avec son clitoris et vais directement à ce qui m’intéresse. Et je ne suis pas déçu ! Quasiment à l’aveugle deux de mes doigts n’ont aucun mal à envahir ce qu’il me plait tant d’enfiler de ma queue. Elle est plus que prête sans que je sache précisément ce qui là fait tant mouiller dans cette mise en scène… il faudra s’y intéresser. Peut-être a-t-elle saisi que nous étions à présent sur l’autoroute au bruit des camions que je m’évertue à dépasser le plus lentement possible pour le plus grand plaisir des routiers qui savent profiter de l’aubaine. Je peux presque voir leurs yeux s’écarquiller et briller. Nul doute que leur ferme attention n’a d’égale que celle de leur bite. Le moment m’apparait bien choisi pour prévenir Carole de la situation et faire un premier test. - Montres à nos amis routiers, ces pauvres travailleurs laborieux, que tu n’as pas plus froid aux yeux qu’au cul !. Retrousse bien ta jupe et incline davantage ton siège" Elle : Plus aucun doute, nous roulons sur une autoroute et où que nous allions Lucas a l’intention de s’amuser avec des routiers pour ma première dépravation. Des rustres qui sont enfermés seuls dans leur cabine la plus grande partie du temps, réputés pour être bien souvent de sacrés chauds lapins. Un ...