1. Les plaisirs de la piscine privée


    Datte: 03/10/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... sa jubilation, oubliant la situation pour se concentrer sur son sexe et les sensations qu'il lui offrait. Elle avait joui, manifestement joui, et une oreille avertie ne pouvait pas s'y tromper.
    
    Il se détacha d'elle et lui glissa à l'oreille :
    
    - J'en ai pas fini avec toi. Viens avec moi.
    
    Il la prit par la main et la conduisit jusqu'aux marches de la piscine où il la fit asseoir. Sans qu'il ait eu besoin de le lui demander, elle lui prit la queue pour la sucer. Et sans qu'il eut encore besoin de le lui demander après une délicieuse séance de succion, elle se mit à quatre pattes sur les marches et lui offrit sa croupe. Il aurait pu la sodomiser séance tenante, elle ne l'aurait pas refusé mais il préféra l'enfiler en levrette, debout dans l'eau, elle à demi immergée. Il n'eut même pas besoin de s'employer. Elle vint résolument à sa rencontre à grands coups de hanches et grâce à la position sur les marches, il put empoigner ses deux seins ballottants à fleur d'eau. Les sensations qu'elle éprouvait devaient être vives car elle se mit à gémir bouche fermée, mmmmhhh mmmmhhhh, bruits suffisamment audibles pour confirmer dans le voisinage le coït aquatique. Olivier clapotait allègrement au point de provoquer des vagues sur les marches. Mais quand Sandrine glissa une main entre ses cuisses pour saisir ses couilles et les peloter, comme elle faisait souvent dans la levrette, il ne résista pas. Après une ultime rafale de coups de bite qui fit gémir Sandrine, il expulsa son ...
    ... liquide séminal qui se mit à monter jusqu'à la surface de l'eau, substance blanchâtre qui finit par se morceler en micro grumeaux et à se dissoudre. Le couple dissocié s'assit sur les marches, un peu groggy tant par l'effet de l'eau que par l'intensité du coït :
    
    - Hou là là, quelle baise, tu m'as servie comme un chef ! souffla Sandrine.
    
    - Alors, ça t'a plu, la piscine ?
    
    - C'était génial. Mais on n'a pas été très discrets, je le crains.
    
    - Ouais, surtout toi.
    
    - Salaud, c'est de ta faute, gloussa Sandrine en adressant une petite gifle à son mari.
    
    Puis ils nageottèrent avec volupté, profitant du contact de l'onde sur leur peau nue, avant de revenir sur les bains de soleil, de se servir un nouveau verre et d'attendre tranquillement la venue du sommeil.
    
    ********
    
    Deux jours plus tard, Sandrine se trouvait au supermarché pour ses courses alimentaires lorsqu'elle croisa Françoise, sa voisine. Elle avait plusieurs fois échangé des propos badins par-dessus la clôture avec cette sympathique sexagénaire, nouvellement retraitée de l'éducation nationale, plantureuse et rigolarde, bonne vivante adepte du barbecue dont les fumées envahissaient parfois le jardin du couple. Elle s'en excusait à chaque fois et avait souvent proposé à Sandrine de franchir sa porte pour déguster ses grillades. Mais la grande blonde, végétarienne, expliquait son refus par son mode alimentaire. Néanmoins, Françoise revint à la charge ce jour-là :
    
    - Alors, quand c'est que vous venez chez nous ...
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