1. Soumission au Manoir (1)


    Datte: 30/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: soumise72, Source: Xstory

    ... des souffles et cris de jouissance, ces mots furent dits tout en tirant sur la chaîne des pinces à tétons.
    
    Cela commença à m’exciter fortement, je sentis la cyprine couler le long de mes cuisses, l’orgasme était au bord des lèvres de ma chatte, comme à mon habitude, je demandais au maître l‘autorisation de jouir, qu’il me refusa.
    
    Je fus attachée, bras en l’air, jambes écartées, chevilles fixées ; je suppose que je me trouvais exposée à la vue et aux sus de tous. On m’ouvrit la bouche avec un écarteur, me semble-t-il, des crachats y atterrirent en même temps que je sentis une brûlure sur mon cul, les coups tombèrent à une allure folle. Entre chaque série de coups, une main passait sur les traces de coups comme pour tester la chaleur du cul ou bien était-ce pour se rendre compte des enflures que cela pouvait faire. Pendant que les coups pleuvaient, je me sentis basculer vers l’avant, une grosse queue bien raide dans la bouche, cette queue me baisa la bouche sans faire attention si je respirais ou crachais ; la queue tapa plusieurs fois au fond de ma gorge, je la sentis sur ma glotte, essayait-il de me faire vomir ? Je ne vomis jamais, le savait-il seulement ? Les coups de queue dans la bouche devinrent plus brutaux, s’accélèrent, les libertins présents se rendirent vite compte de la colère du baiseur frustré.
    
    Il accéléra ses va-et-vient, rien n’y fit, je ne vomissais pas, ivre de colère, il me retourna brutalement, mes seins vibrèrent et comme des décharges ...
    ... électriques, les emplirent de douleurs, qui m’excitèrent encore plus, la cyprine dégoulinait de ma chatte. Des rires, des sifflements, des gémissements des personnes présentes se firent entendre à mes oreilles. La grosse queue de l’homme me défonça à sec, après quelques coups de boutoir bien sentis, l’homme poussa un râle, je sus qu’il avait joui, que ce n’était pas mon maître non plus vu que celui-ci ne mettait jamais de capote pour me baiser.
    
    D’autres hommes voulurent se servir, le chef des opérations leur intima d’attendre que chacun pourrait se servir, mais que pour le moment, place était à la punition.
    
    Pendant que les coups pleuvaient sur mon corps, me brûlaient les seins, le cul la chatte, mon esprit s’évada, comme souvent sous la douleur ; je me retrouvais à être spectateur, oh le décor et les acteurs n’étaient pas clairs, n’ayant rien pu enregistrer, ne connaissant pas les lieux, mais la scène était bien réelle. Comment en étais-je arrivée là, moi la femme de 50 ans, bien sous tout rapport ; j’ai un travail, des loisirs, une vie sommes toute heureuse, quoi qu’il me manque une personne à mes côtés depuis le décès de mon mari, mettre un peu de piment dans sa vie ne fait de mal à personne, à ce point-là cela en devient presque indécent.
    
    De tout temps, j’ai aimé les défis, au jeu du « cap pas cap », j’ai toujours gagné, et ce depuis mon enfance, à force ma famille et mes amis n’y jouaient plus, c’est peut-être cela qui me manquait, car avec mon maître, c’est comme cela que ...