1. Féminisation presque forcée... (3)


    Datte: 29/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bgp, Source: Xstory

    ... pour ce petit corps avec lequel je n’avais jamais été à l’aise. C’était si nouveau, si agréable, et si excitant !
    
    — Tu as fait de ce minet une parfaite petite traînée ! Regardez-moi la silhouette que ça lui fait ! Si j’étais un homme, elle me ferait péter la braguette !
    
    Leurs phrases coulaient maintenant dans mon esprit comme un délicieux élixir de transformation. Il effaçait toutes traces de masculinité pour laisser à la place une féminité aussi délicate que l’était mon petit corps imberbe. Samantha se demandait sur quoi elle allait enchaîner.
    
    — Tu es parfaite comme ça. Tu n’as besoin d’aucun vêtement supplémentaire. Passons à la coiffure.
    
    Elle sortit d’un coffre, une perruque avec de longs cheveux lisses blond platine soigneusement peignée. Elle la disposa avec délicatesse sur ma tête et se recula pour juger du résultat.
    
    — C’est impressionnant comme tout te va ! Cette perruque fait ressortir tes beaux yeux noirs et la finesse de ton coup et de ton visage, une vraie poupée Barbie ! Avec moins de nichons cependant.
    
    Samantha me tendit sa main pour m’inviter à descendre du lit, comme une petite princesse qui descend de son carrosse. Je me retrouvais une nouvelle fois au milieu de ces massives valkyries qui me toisaient. Ma maîtresse se pencha dans son dressing pour sortir une paire de bottines en cuir blanc. Elle s’accroupit et passa une main derrière mon mollet qu’elle pouvait quasiment entièrement enserrer tant son battoir ...
    ... était large ! Elle m’invita à passer mon pied puis l’autre dans les chaussures qu’elle me présentait. Une pointure un peu inférieure aurait convenu parfaitement, mais ça pourrait aller. La géante se releva et m’ordonna de marcher.
    
    — Bouge ton petit cul, fais-nous voir ce que ça donne !
    
    Je ne savais pas comment réagir à cet ordre. Je me mis à marcher telle une mannequin, jusqu’au miroir sur lequel je me vis. Mon souffle fut coupé. La créature que je voyais dans la glace était d’une telle finesse et d’une telle beauté ! Il faut dire que le contraste avec les larges et hautes silhouettes de mes habilleuses augmentait l’aspect filiforme de mon corps. Mes jambes fuselées sortaient de mes bottes jusqu’à la jupe si courte qu’elle cachait à peine la culotte. Elle se dévoilait par un adorable petit nœud rose sur sa bordure, juste en dessous de mon nombril qui se donnait l’allure d’un joyau posé sur mon ventre plat, dans l’écrin de ma taille de guêpe. Le chemisier commençait quelques centimètres au-dessus et dévoilait la fine lingerie rose de mon décolleté. Son col mettait en valeur mon cou de cygne et mes épaules délicates sur lesquelles les longs cheveux blonds coulaient comme des rivières d’or.
    
    La seule présence de cette perruque suffisait à donner à mon visage l’illusion totale d’un beau visage féminin. La voix brutale de Samantha me ramena à la réalité.
    
    — Arrête de t’admirer petite chienne ! Je t’ai dit de trémousser ta petite chatte ! Bouge ! 
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