Nymphomane, moi ? Tome II (10)
Datte: 29/09/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... un plomb !
— J’y compte bien...
— Il va te baiser !!
— J’y compte bien aussi...
— Non, arrête de te marrer... tu me fais marcher...
— Tu crois... touche rien de d’y penser ça me fait mouiller... Et puis je viens de prendre du bois bandé... Ouuuiiiii.... lààààà... enfonce... tu peux en mettre deux... ouiiiii....
— Salope, c’est vrai tu es excitée ! Le truc que tu avais donné au vieux noir qui venait du Congo ! Oh putain... mes doigts sont tout mouillés... Tu y prends goût à baiser avec Boulier ! Tu deviens une vraie petite nympho !
— Qui sait ! Alors tu me crois maintenant... allez bye... je te raconterai... J’ai une requête à lui soumettre !
Je le plantai là, les yeux ébahis. Je me dirigeai vers le bureau du grand Jean-Paul, le mistral s’engouffra sous ma blouse, chatouilla mon sexe bien rasé et légèrement moite, les doigts de Gérald y étaient pour quelque chose. Mes seins libres de toute entrave tressautèrent et mes tétons frottèrent contre le tissu de la blouse, je sentis qu’ils s’érigeaient.
Il me sembla voir Boulier qui entrait dans le bâtiment ou était son bureau, au moins je n’aurai pas fait ça pour rien... il était là. Mais il était assez fantasque, on ne savait jamais trop à quoi s’attendre avec lui. Enfin, je verrai bien !
Je toquai à sa porte, il me dit d’entrer. Je m’approchai, faisant attention que le bas de ma blouse s’ouvre sur ma cuisse, passai à côté de lui, lui tendis la liasse de documents à signer.
Je me penchai pour la ...
... poser sur son bureau, le haut de ma blouse bailla largement, son regard y plongea, il ne put pas rater que je n’avais pas de soutien-gorge. J’avançai une jambe, le bas de la blouse s’ouvrit découvrant le haut de ma cuisse striée par les lanières du porte-jarretelles. Ses yeux s’y portèrent aussitôt. Il me montra le fauteuil devant son bureau.
— Écarte encore peu ta blouse pour me montrer ta chatte. Putain elle est toujours aussi appétissante, rasée ainsi, mais assied-toi pendant que je signe, et puis il faut que je te parle.
Je posai mes fesses au fond du siège et croisai mes jambes, le regardant signer les papiers, il me jeta des coups d’œil par-dessus ses lunettes, il vit mes jarretelles noires. J’attendis qu’il eût fini ses signatures décroisai mes jambes et les laissai écartées.
— Oooooohhhhh petite Salope, tu me fait bander... des bas et un porte-jarretelles, pas de culotte, une chatte rasée, j’adore. C’est pour moi ou pour Gérald avec qui je t’ai vu discuter dans le petit square que tu t’es habillée ainsi.
— Non, c’est bien pour vous... dis-je en rougissant un peu. La dernière fois que vous m’avez fait l’amour... j’ai... j’ai bien apprécié...
— En voilà une Trixie qu’elle est belle, splendide et gentille...
Il se leva et donna un tour de clé à la porte. Il avait changé de bureau et celui-ci était au premier étage, personne ne pouvait nous voir. Il revint vers moi, se mit derrière le fauteuil, ses grandes mains commencèrent à déboutonner les trois dernier ...